Article
Peinture : 1840-1940
En même temps que Krieghoff cède à la fascination de la vie quotidienne au Québec, un cas semblable se produit dans l'Ouest du pays.
Entrez votre terme de recherche
L'inscription améliore votre expérience TCE avec la possibilité d'enregistrer des éléments dans votre liste de lecture personnelle et d'accéder à la carte interactive.
Créer mon compteArticle
En même temps que Krieghoff cède à la fascination de la vie quotidienne au Québec, un cas semblable se produit dans l'Ouest du pays.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ab0315c8-f52c-4ce7-b2ca-19568aea4fe7.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ab0315c8-f52c-4ce7-b2ca-19568aea4fe7.jpg
Article
Au début des années 1600, les religieuses et prêtres catholiques établissent les premiers pensionnats indiens au Canada (voir aussi Indien). En 1883, ces institutions commencent à recevoir du financement de la part du gouvernement fédéral. Cette même année, le gouvernement du Canada autorise officiellement la création du système des pensionnats indiens. L’objectif principal de ce système est d’assimiler les enfants autochtones à la société chrétienne blanche. (Voir aussi Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens et Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens.) (Cet article est un résumé en langage simple de l’histoire des pensionnats indiens. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, Pensionnats indiens au Canada)
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/8d3d94d2-cb82-47ad-97a5-a70b351c44e4.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/8d3d94d2-cb82-47ad-97a5-a70b351c44e4.jpg
Article
La pétition est l’une des méthodes les plus communément utilisées par la population pour exprimer son désaccord politique. Peu usitée à l’ère de la Nouvelle-France, la pratique collective du pétitionnement auprès des autorités politiques est devenue de plus en plus fréquente dans les années qui ont suivi la conquête du territoire par les Britanniques. En effet, le pétitionnement est monnaie courante depuis des siècles en Angleterre, qui l’a officialisé dans sa Déclaration des droits, en 1689. Dès 1763, elle le devient aussi au Canada, où les citoyens envoient, pour une foule de raisons, des pétitions à leurs gouvernements (coloniaux, impériaux, fédéral, provinciaux et municipaux). Depuis la récente invention des pétitions en ligne, les Canadiens font plus que jamais entendre leur voix auprès du gouvernement.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7770f93e-7f5e-4cb8-b6ad-57df24227db6.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7770f93e-7f5e-4cb8-b6ad-57df24227db6.jpg
Article
Pendant toute l’histoire de la Nouvelle-France, ce sont surtout des soldats et des travailleurs, appelés des « engagés », qui traversent l’Atlantique et colonisent le Canada. Ces jeunes militaires et artisans viennent essentiellement des régions côtières et urbaines de la France, tout comme les femmes immigrantes qui espèrent s’y marier. Ce flux migratoire, qui varie en fonction des périodes de guerre ou de prospérité, fournit l’essentiel des colons avant 1670, après quoi la natalité canadienne prend le dessus. Les familles canadiennes comptent généralement de 7 à 8 enfants au 17e siècle et de 4 à 6 au 18e, si bien que la population de la Nouvelle-France atteint environ 70 000 personnes à la fin du régime français.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d698c031-e790-4c17-906a-5b880e71e24d.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d698c031-e790-4c17-906a-5b880e71e24d.jpg
Article
L’art rupestre se divise généralement en deux catégories : les sites de gravures (pétroglyphes) et les sites de peintures (pictogrammes). Les pictogrammes sont des peintures qui ont été réalisées en appliquant de l’ocre rouge, ou plus rarement une teinture noire, blanche ou jaune. Bien que la majorité des images aient été tracées au doigt, certaines peuvent avoir été réalisées à l’aide de pinceaux en fibres végétales ou animales. Les pétroglyphes sont des gravures obtenues par incision, frottement, ou pulvérisation à l’aide de pierres sur des parois rocheuses, des blocs rocheux, et des surfaces plates de l’assise rocheuse.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a57744d3-7823-4f28-a552-232b42fcb08c.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a57744d3-7823-4f28-a552-232b42fcb08c.jpg
Article
La piste de la Graisse du Mackenzie représente la dernière étape, de 350 km, parcourue par Alexander MACKENZIE, en 1793, pendant la première traversée continentale connue de l'Amérique du Nord.
"https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3de41ff0-80b9-44c7-b85a-1bb3d3054580.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3de41ff0-80b9-44c7-b85a-1bb3d3054580.jpg
Article
La Police à cheval du Nord-Ouest (P.C.N.-O.) est l’ancien nom de l’emblématique Gendarmerie royale du Canada. Créée après la Confédération pour maintenir l’ordre le long des territoires frontaliers de l’Ouest canadien, la P.C.N.-O met fin au trafic du whisky dans les Prairies du sud et à la violence inhérente, aide le gouvernement fédéral à réprimer la Résistance du Nord-Ouest et instaure l’ordre dans la ruée vers l’or du Klondike. La Police à cheval du Nord-Ouest ouvre la voie en faisant appliquer les lois fédérales dans l’Ouest et l’Arctique entre 1873 et 1920.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/9a255267-0aad-4dff-bdcd-57cfec136787.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/9a255267-0aad-4dff-bdcd-57cfec136787.jpg
Article
La police du Dominion est à l'origine une petite force protectrice mise sur pied par le gouvernement fédéral en 1868 afin de garder les édifices du Parlement à la suite de l'assassinat de Thomas D'Arcy McGee.
"https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9
Article
De 1889 à 1897, la Politique des exploitations paysannes du gouvernement du Canada a imposé des limites à l’agriculture autochtone dans les Prairies. La politique règlementait notamment le type d’outillage que les cultivateurs des Premières Nations pouvaient utiliser sur les terres des réserves. Elle limitait également le volume de ce qu’ils pouvaient cultiver et vendre. Cette politique était fondée sur l’idée que les cultivateurs autochtones devaient évoluer graduellement vers une agriculture moderne. Elle limitait aussi la possibilité pour ces cultivateurs de concurrencer les colons sur le marché. Au bout du compte, cette politique a entravé la croissance et le développement des fermes autochtones. Pour cette raison, les Premières Nations n’ont jamais pu développer pleinement leur potentiel en matière d’agriculture.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/62c520ef-e4ce-43bd-9fca-e2256625e40a.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/62c520ef-e4ce-43bd-9fca-e2256625e40a.jpg
Article
La Politique nationale est la stratégie économique et politique centrale du Parti conservateur sous le premier ministre John A. Macdonald ainsi que sous bon nombre de ses successeurs haut-placés.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3d796db1-587b-4b83-b948-3074a8fe7e80.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3d796db1-587b-4b83-b948-3074a8fe7e80.jpg
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3d796db1-587b-4b83-b948-3074a8fe7e80.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3d796db1-587b-4b83-b948-3074a8fe7e80.jpg
"https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9
Article
Poste de traite Le poste de traite peut être décrit comme une grande maisonnée dont la taille et l'organisation sociale sont le reflet de l'héritage culturel de ses membres et du rôle du poste dans la Le poste de traite peut être décrit comme une grande maisonnée dont la taille et l'organisation sociale sont le reflet de l'héritage culturel de ses membres et du rôle du poste dans la TRAITE DES FOURRURES. Bien que tous...
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a4d6e476-5e53-4126-9ee6-313b64235660.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a4d6e476-5e53-4126-9ee6-313b64235660.jpg
Article
De 1670 jusqu’en 1987, la Compagnie de la Baie d’Hudson (HBC) a exploité des centaines de postes de traite dans diverses parties du Canada et dans le Nord-Ouest des États-Unis. Pendant la traite des fourrures, les trappeurs autochtones visitaient les postes de traite pour échanger des fourrures contre des biens de valeur produits par les Européens, incluant des objets métalliques, des armes, et des perles de verre. En 1870, le vaste territoire sauvage du nord appartenant à la HBC (voir La Terre de Rupert et Territoires du Nord-Ouest) a été transféré au gouvernement canadien, et la HBC est graduellement passée d’une compagnie de traite de fourrures à un établissement de vente au détail. Toutefois, elle a maintenu des postes dans le Nord canadien jusqu’en 1987. Certaines colonies qui restaient dans les vieux postes de traite et aux alentours se sont développées en villes, comme Winnipeg (Fort Garry), Edmonton (Fort Edmonton) et Victoria (Fort Victoria). Certaines Premières Nations qui s’étaient établies près des postes de la HBC portent également des noms qui reflètent leur histoire de traite de fourrures, comme la Première Nation de Fort Albany en Ontario, et la Première Nation de Fort McKay en Alberta.
"https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Kugluktuk-Trading-Post.jpg" // resources/views/front/categories/view.blade.phphttps://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Kugluktuk-Trading-Post.jpg