Histoire/Personnages historiques | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Éditorial

    Barr: une colonie rurale anglaise dans les Prairies

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. « À cause de ses préjugés insulaires et de sa haute estime d'elle-même, la race anglaise s'empêtre continuellement, partout dans le monde, dans des histoires à dormir debout ; toutefois, les Anglais réussissent tant bien que mal à s'en tirer et à s'emparer du terrain. » Manitoba Free Press, décembre 1903

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f64936a3-133d-4589-831d-04059009e258.jpg Barr: une colonie rurale anglaise dans les Prairies
  • Article

    Les enfants canadiens et la Grande Guerre

    ​Durant la Grande Guerre, l’immense majorité des huit millions de Canadiennes et de Canadiens combattent en restant au pays.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3103720d-0fac-454d-92f1-89bd5e70dfa3.jpg Les enfants canadiens et la Grande Guerre
  • Article

    Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale

    Le 1er septembre 1939, l’armée allemande envahit la Pologne, et la Deuxième Guerre mondiale éclate.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/88701348-4f67-46ea-8586-d6b497afa359.jpg Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale
  • Article

    Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale

    Le 1er septembre 1939, l’armée allemande envahit la Pologne, et la Deuxième Guerre mondiale éclate.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e06cd521-88ae-4f9d-8950-02a0c45141f9.jpg Les enfants canadiens pendant la Deuxième Guerre mondiale
  • Article

    Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens

    Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses parrainées par le gouvernement et créées dans le but d’assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne. Les pensionnats du Nord étaient dirigés par des missionnaires depuis déjà environ un siècle lorsque le gouvernement fédéral commence à ouvrir de nouvelles et soi-disant modernes institutions dans les années 1950. Ces institutions ouvrent leurs portes moins d’une décennie après que le Comité mixte spécial (voir Droit de vote des peuples autochtones) déclare le système inefficace. Les recommandations du comité mènent finalement à la fermeture des pensionnats indiens à travers le pays.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/InuitResidentialSchool/Inuit-Residenital-School (Library and Archives Canada_PA-042133).jpg Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens
  • Article

    Les femmes et la ruée vers l'or du Klondike

    La Ruée vers l’or du Klondike, de 1896 à 1899, a attiré près de 100 000 personnes venues du monde entier dans la région du Klondike au Yukon. Les femmes ont joué un rôle essentiel dans la ruée vers l’or, bien qu’on estime qu’elles ne représentaient que 10 % de la population du Yukon au plus fort de la ruée. En plus d’assumer le travail domestique avec ou sans rémunération, les femmes ont assumé une multitude d’autres rôles au Klondike, notamment en tant que prospectrices, entrepreneuses, artistes, travailleuses du sexe, ou infirmières.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/WomenInTheKlondikeGoldRush/DanceHallGirl.jpg Les femmes et la ruée vers l'or du Klondike
  • Article

    Les femmes et la traite des fourrures

    En 1639, un Algonquin déclarait au jésuite missionnaire Paul Le Jeune : « Vivre parmi nous sans femme, c’est vivre sans aide et sans foyer et être condamné à une errance permanente. » S’il est vrai que l’importance d’avoir un foyer et une femme ne voulait peut‑être plus dire grand‑chose pour ce prêtre jésuite, itinérant et célibataire, pour de nombreuses Premières Nations, cette citation évoque les avantages sociaux, économiques et politiques du mariage, en particulier dans le contexte de la traite des fourrures. Les femmes autochtones fabriquent et raccommodent les vêtements, conservent les viandes, récoltent le sucre d’érable et des légumes racines comme les navets, piègent le petit gibier, attrapent les poissons avec des filets et cultivent le riz sauvage, toute une palette d’activités absolument essentielles pour la survie et la subsistance dans les forêts boréales, les terres boisées des prairies et les plaines nordiques où vivent les sociétés de la traite des fourrures. Les mariages entre les clans (voir Clan) permettent aux femmes des Premières Nations, dans le contexte d’un vaste monde autochtone interconnecté, de forger des lignées de parenté étendues, d’établir des obligations sociales et des liens réciproques et de négocier l’accès à des ressources communes et leur utilisation. Les mariages entre différents villages, différents clans et différentes Premières Nations façonnent la politique régionale, encouragent les alliances matrimoniales latérales et créent un réseau de parenté étendu géographiquement diversifié, sur l’ensemble du territoire des bassins versants des Grands Lacs et du Saint‑Laurent ainsi que de la baie d’Hudson et de la côte du Pacifique (voir L’océan Pacifique et le Canada).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/WomenFurTrade/TrappersWifeCropped.jpg Les femmes et la traite des fourrures
  • Article

    Les infirmières militaires

    Les femmes ont soigné des soldats blessés tout au long de l’histoire de la guerre au Canada. Les infirmières militaires ont exercé des fonctions officielles au sein de l’armée durant la Résistance du Nord-Ouest, la guerre d’Afrique du Sud, la Première Guerre mondiale, la Deuxième Guerre mondiale et la guerre de Corée. Au moins 70 d’entre elles sont décédées des suites d’actions ennemies ou de maladies durant leur service.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/vimy_foundation/VF3-4/VF8-11.jpg Les infirmières militaires
  • Article

    Infirmières militaires du Service de santé de l’Armée canadienne

    Plus de 2 800 infirmières civiles formées se sont enrôlées dans l’Armée canadienne durant la Première Guerre mondiale, devenant ainsi les premières femmes du monde moderne à détenir des commissions militaires en tant qu’officières. En tant que membres du Corps médical de l’Armée canadienne (CMAC), les infirmières militaires soignaient et prenaient soin des soldats blessés, à l’étranger et au pays. Au moins 58 d’entre elles sont décédées de maladie ou des conséquences d’actions ennemies durant la guerre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/271eb18d-51cb-46d8-b660-42a54e9557c5.jpg Infirmières militaires du Service de santé de l’Armée canadienne
  • Article

    Les infirmières militaires et l’impact de la guerre sur les femmes

    Nous célébrons l’héroïsme et pleurons les sacrifices de nos militaires au cours de deux guerres mondiales et autres conflits étrangers divers, et de missions de maintien de la paix. Pourtant, moins d’attention a été accordée aux efforts déployés par les femmes lors de ces événements, en particulier aux infirmières qui ont bâti leur propre tradition de service et de sacrifice.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6c14215f-fcdf-40f6-8934-c77072c307ec.jpg Les infirmières militaires et l’impact de la guerre sur les femmes
  • Éditorial

    Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. « La liberté et une ferme. » La promesse est attrayante pour des milliers d’Afro-Américains qui se sont battus dans des régiments britanniques lors de la Révolution américaine (1775-1783) et qui cherchent à fuir l’esclavage. Suivant la guerre, ils se joignent à des dizaines de milliers de loyalistes, des réfugiés américains s’étant battus aux côtés des Britanniques. Entre 80 000 et 100 000 loyalistes en viennent à fuir les États-Unis. Près de la moitié d’entre eux se rendent en Amérique du Nord britannique. Les vagues principales arrivent en 1783 et 1784. Le territoire qui comprend aujourd’hui les provinces maritimes devient le domicile de plus de 30 000 loyalistes. Les colons décident alors de s’installer principalement sur les côtes de la Nouvelle-Écosse, au Cap-Breton et à l’Île-du-Prince-Édouard (alors nommée l’Île-Saint-Jean).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/be13527b-b76d-408a-afca-30acbd4f7bfc.png Éditorial : L’arrivée des loyalistes noirs en Nouvelle-Écosse
  • Liste

    Les Mères de la Confédération

    De nombreux ouvrages ont été consacrés aux Pères de la Confédération, mais qu’en est-il des épouses et des filles qui les ont côtoyés, qui se sont faites les gardiennes de cette mémoire et qui ont été des joueurs politiques à leur manière? Les archives officielles des conférences de Charlottetown et de Québec de 1864, qui ont pavé la voie à la Confédération, sont partielles. Si l’on connaît aujourd’hui la dynamique sociale et politique de ces conférences, c’est surtout parce les historiens ont pu consulter les lettres et les ouvrages des « Mères de la Confédération ». Ces écrits permettent non seulement de porter un regard sur l’expérience des femmes privilégiées de cette époque, mais également d’attirer l’attention sur leur contribution à la création de documents historiques ainsi que sur le rôle qu’elles ont tenu dans le paysage politique. Cet article se concentre sur les efforts de six de ces femmes.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f4e95c4d-13f3-4cd4-bfc2-2fde0ed9c2c4.jpg Les Mères de la Confédération
  • Article

    Les pionniers noirs de l'Ouest canadien

    Au bout du compte, ce décret ne sera jamais invoqué, mais la façon dont les Noirs américains en arrivent à être déclarés « inadaptés » en tant que pionniers est fascinante et troublante.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ee92d50e-f67f-40da-ac5e-a050a0ca0dc3.jpg Les pionniers noirs de l'Ouest canadien
  • Article

    Marc Lescarbot

    En plus d'être un compte rendu coloré des premières tentatives de colonisation en Acadie, cet ouvrage est un plaidoyer remarquable en faveur d'une exploitation réaliste des ressources naturelles de la colonie et contre la recherche futile de profits immédiats.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/12395746-ea64-4070-9f42-925ffcfca22c.jpg Marc Lescarbot
  • Article

    Lester B. Pearson

    Lester Bowles « Mike » Pearson, C.P., O.M., C.C., O.B.E., premier ministre (1963-1968), homme d’État, homme politique, fonctionnaire, professeur (né le 23 avril 1897, à Newtonbrook, en Ontario, décédé le 27 décembre 1972, à Ottawa , en Ontario). Lester B. Pearson est le diplomate canadien le plus en vue des années 1950 et 1960, et jette les bases de la politique étrangère du Canada après la guerre, en particulier en ce qui concerne sa participation dans l’OTAN et les Nations Unies, où il est président de l’Assemblée générale. En 1957, il reçoit le prix Nobel de la paix pour ses efforts diplomatiques visant à faciliter le retrait des Britanniques et des Français hors de l’Égypte pendant la crise de Suez. Habile politicien, il reconstruit le Parti libéral et, en tant que premier ministre, il s’efforce de conserver l’unité canadienne. Sous sa direction, le gouvernement a mis en œuvre le Régime de pensions du Canada , un régime universel d’assurance-maladie , des Forces armées unifiées et un nouveau drapeau national.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/a136153.jpg Lester B. Pearson