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Gouvernements et musique

Gouvernements et musique. Les gouvernements ont joué un rôle de plus en plus significatif en donnant une forme à la vie musicale du Canada au moyen de législation, de réglementation et de consultation et par un appui financier et structural direct ou indirect.

Les gouvernements ont joué un rôle de plus en plus significatif en donnant une forme à la vie musicale du Canada au moyen de législation, de réglementation et de consultation et par un appui financier et structural direct ou indirect. Jusqu'au milieu du XXe siècle, le soutien direct des gouvernements à la musique, si courant dans les pays européens, était à peu près inconnu au Canada. À l'exception du maintien de corps de musique et d'un soutien marginal à la musique comme parties de projets muséologiques ou de célébrations publiques, il existait peu de subventions publiques pour les orchestres, les compagnies d'opéras ou les écoles de musique, et certainement aucune politique officielle favorisant les arts. Essentiellement, de telles initiatives étaient considérées comme des affaires de goût des individus intéressés et leur financement une affaire de vente de billets, de cachets pour des leçons et, avec un peu de chance, le soutien de fortunes privées. Cependant, du début au milieu du XXe siècle, l'interdépendance ou l'entrelacement des activités musicales avec l'éducation, l'administration du droit d'auteur, l'exportation et l'importation de marchandises, l'emploi, la communication radiophonique et le tourisme ont dirigé l'attention des gouvernements vers les affaires musicales. L'attention des gouvernements résultait aussi de la popularité croissante de formes musicales particulièrement coûteuses, comme l'exécution orchestrale et lyrique, ainsi que de la révélation que l'exécution et l'enregistrement devenaient des industries d'envergure et du besoin de protéger cette industrie pour qu'elle ne tombe pas aux mains de la propriété ou du contrôle étrangers. Enfin et surtout, l'implication des gouvernements était due à des obligations internationales, comme la participation du Canada à l'Unesco (1946).

Qu'il soit question de mécénat, d'éducation, de composition et d'édition, d'enregistrement, d'importation et d'exportation de commodités rattachées à la musique ou à la radio et la télédiffusion, la musique canadienne et les musiciens canadiens ont été - directement ou indirectement - influencés par les politiques des gouvernements et ont été dépendants de ces politiques durant la quasi totalité de la période qui a suivi la Première Guerre mondiale. Il est sûr qu'après le milieu du XXe siècle, peu d'aspects de la musique au Canada se sont développés indépendamment des politiques ou subventions publiques. Il devint évident que le mécénat, dans le contexte canadien, signifiait en premier lieu des subventions publiques, sans lesquelles la formation professionnelle, la composition, l'exécution et l'édition seraient privées d'une viabilité institutionnelle et économique. La gestion et le financement des gouvernements étaient essentiels à la formation d'institutions, de standards et de pratiques musicales professionnelles et ont eu un impact majeur sur les structures actuelles de la radiodiffusion, de l'enregistrement sonore et du commerce international des industries musicales.

Le gouvernement du Québec fut le premier à subventionner directement la musique, avec le Prix d'Europe créé en 1911 et par l'établissement du Cons. de musique du Québec en 1942. À cause de la perception de la condition fragile de l'identité nationale canadienne, la radiodiffusion avait été conçue par le gouvernement fédéral comme une responsabilité appropriée depuis que la Commission Aird avait été nommée pour réviser la radiodiffusion en 1928. Au début, la plus grande partie des subsides publics était versée indirectement sous forme d'exécutions et de commandes. À compter de la Loi sur la radiodiffusion de 1932 et la formation de la Commission canadienne de la radio (voir Radiodiffusion), des agences et politiques publiques furent mises sur pied afin de protéger et administrer la musique, et plus directement la musique à la radio, dans le sillage d'une importation commerciale massive d'émissions et d'exécutants étrangers. La CCR et son successeur en 1936, la SRC, furent à l'origine conçues comme mécènes, producteurs, promoteurs et régulateurs de tous les genres de musique canadienne, coexistant avec des petites stations locales gérées par des radiodiffuseurs commerciaux. Les subsides directs aux artistes et aux institutions des arts d'interprétation vinrent plus tard; à mesure que la musique devenait plus professionnelle, le CAC, conjointement avec les conseils des arts provinciaux et avec des emplois plus nombreux offerts par les universités, ne fit que remplacer la SRC comme parrain public d'oeuvres musicales, d'exécutions et d'exécutants.

Gouvernement fédéral. L'implication du gouvernement fédéral dans la culture fut entrepris par des agences maintenant des relations indépendantes avec le gouvernement, comme la SRC, le CAC, l'ONF, le CNA et des institutions culturelles telles que les ANC, la Bibliothèque nationale du Canada et les Musées nationaux (voir Musée canadien des civilisations), réunis en 1963 sous l'égide du Secrétaire d'État. (Une agence temporaire, la Commission du Centenaire qui prépara les célébrations de 1967, avait sa propre division des arts d'interprétation.) Après 1980, une proportion croissante de financement et de règlements fut administrée plus directement par le ministre et le ministère des Communications qui, en prenant charge des industries culturelles, furent mandatés pour « développer des politiques culturelles canadiennes, développer, diriger et réaliser une série de programmes d'appui dont bénéficieraient les communautés des arts, du patrimoine, du film, de l'édition et de l'enregistrement sonore ». Avec l'accent grandissant mis sur l'économie et la politique concernant les industries culturelles, le budget du ministère des Communications (maintenant plus des deux tiers du budget fédéral pour la culture) et son influence ont considérablement augmenté si on les compare à ceux du CAC et autres agences indépendantes.

Nonobstant l'absence de politiques claires et à long terme et les continuelles tensions intergouvernementales entre le gouvernement fédéral et celui du Québec, les gouvernements du XXe siècle ont influencé la vie musicale au Canada dans plusieurs domaines, dont un résumé figure ci-après.

Éducation. L'éducation est de juridiction provinciale, contrairement à la réglementation et à la politique de la radiodiffusion, à la gestion de l'industrie de la musique et à la direction import-export et à presque tout le financement des arts, qui sont administrés par le gouvernement fédéral. L'éducation musicale dans les écoles publiques a commencé dans le Haut Canada (Ontario) dans les années 1840 - bien que des collèges privés aient déjà inscrit l'enseignement de la musique -, et il était surtout prodigué par des musiciens d'outremer à l'emploi de l'église. Québec fut le premier gouvernement à accorder un soutien financier à l'éducation musicale professionnelle : son Académie de musique (1868) administrait des examens, surveillait les diplômes, les standards et le répertoire. Un enseignement identique et avec des examinateurs fut mis sur pied dans les autres provinces (1886-97). La formation des maîtres commença au début des années 1900, et la supervision provinciale de l'éducation musicale seulement après la Première Guerre mondiale. Après la guerre, la plupart des conservatoires tombèrent sous la direction des universités, passant ainsi sous la juridiction du financement public quant à son curriculum et à ses degrés. Les universités sont subséquemment devenues les institutions de base pour la composition et l'interprétation professionnelles. Ces gestes vers la « professionalisation » furent accompagnés de la consolidation, par le gouvernement provincial, du contrôle de l'éducation musicale à l'école publique ainsi que sur les examens et la formation des maîtres. Bien que le Rapport Massey (Rapport de la Commission royale d'enquête sur l'avancement des arts...) de 1951 souhaitait lier les buts culturels et éducatifs, l'éducation musicale dans l'ensemble n'a pas été coordonnée ou liée avec les politiques de la radiodiffusion ou des arts qui tombent toutes deux sous la juridiction fédérale. Une exception : une entente de 1969 entre le gouvernement fédéral et le conseil des ministres de l'Éducation a introduit la télévision éducative dans quelques provinces.

Radiodiffusion. La SRC (créée par la Loi sur la radiodiffusion de 1936 pour remplacer la CCR) fut la première et, au début, la seule agence fédérale mandatée pour parrainer la musique de Canadiens, principalement au moyen de commandes pour des oeuvres individuelles et des exécutions plutôt que par un appui à plein temps à des individus et groupes. Le bureau des gouverneurs de la SRC réglementa aussi les radiodiffuseurs privés jusqu'en 1958, quand le gouvernement Diefenbaker, nouvellement élu, passa une Loi sur la radiodiffusion créant un Bureau des gouverneurs de la radiodiffusion, rebaptisé Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) par la Loi sur la radiodiffusion de 1968, pour réglementer les secteurs privé et public. En créant un corps régulateur séparé, la loi de 1968 mettait fin au « système unique » de la radiodiffusion canadienne et créait un nouveau mandat pour la SRC comme « service public » responsable de promouvoir l'unité, l'identité et la culture canadiennes. Les stations privées furent réglementées en terme de propriété (80 p. cent canadienne), mais non sur le contenu des programmes, et furent en mesure de se développer à grande échelle comme partie d'un « système » national de radiodiffusion, libre de limites minimales quant à la commandite dans la production d'émissions. La réglementation des radiodiffuseurs privés fut le sujet de la Commission royale d'enquête sur la radiodiffusion (Commission Fowler) formée en 1957 et de son Rapport (Fowler) de 1965 sur la radiodiffusion. Les deux recommandaient un minimum de standards de service public dans la programmation et un contenu canadien dans le secteur privé.

En réaction, le CRTC imposa des quotas de contenu canadien pour la radio MA en 1971 : 30 p. cent d'émissions de musique enregistrée devaient avoir un « contenu canadien ». Pour remplir cette exigence, deux parmi les compositeur, parolier, interprète et studio d'enregistrement devaient être des Canadiens. Dans la politique du CRTC pour la radio MF de 1975, des quotas « Cancon » furent aussi établis pour la radio MF mais établis différemment selon le format (par exemple, 7 p. cent classique, 30 p. cent country, 20 p. cent top 40). Afin d'assurer la diversité musicale dans chaque communauté, la politique exigeait des programmateurs MF de spécifier un format au moment de demander leur permis, choisissant entre un pop spécifique (musique/général ou musique/traditionnel) et des catégories d'émissions spéciales. Chaque format (par exemple, hard rock, country, adulte contemporain, écoute facile) impliquait des niveaux spécifiques dans le contenu canadien exigé pour la musique enregistrée, lequel constituait dans les années 1980 plus de 70 p. cent de la radio MF en ondes.

En général, les effets des quotas Cancon à la radio ont été davantage bénéfiques pour les interprètes enregistrés individuellement que pour les projets de mainmise de l'industrie de l'enregistrement au Canada, laquelle demeure dominée par une combinaison de grandes multinationales et de petites compagnies canadiennes indépendantes (voir Industrie de la musique). Parce que les cotes d'écoute et les revenus de la radio MA ont décliné, lors de la réévaluation (1990) par le CRTC de sa politique MF une égalisation des quotas du MF avec ceux du MA (30 p. cent de contenu canadien, sauf pour les radiodiffuseurs de langue française) et une combinaison de tous les formats de musique populaire en une catégorie (groupe 1 : pop, rock et danse) pour des fins d'octroi de permis furent proposés.

D'autres aspects de la programmation musicale sujets à la réglementation et esquissés dans la « promesse d'exécution » de chaque station MF commerciale incluent la proportion de sélections jouées, lesquelles sont définies par le format du permis; le nombre de fois qu'un succès peut être répété durant une semaine; le nombre et la diversité des permis octroyés pour des formats spécifiques dans chaque région d'écoute. Les stations de langue française sont exemptes de toute restriction quant aux succès. Au Québec, Radio Québec est soutenu par le ministre des Communications du Québec envers qui il est responsable.

Enregistrement. Les industries culturelles ont quitté le Secrétariat d'État en 1980 pour passer sous la tutelle du ministère des Communications; ce dernier créa un Programme de développement de l'enregistrement sonore (PADES) en 1985. Le PADES offre une aide directe à l'enregistrement sonore en donnant des subventions pour des enregistrements témoins, l'enregistrement en studio, la gestion au plan affaires et la promotion, ainsi que les tournées internationales. Le fonds est administré par FACTOR et Musicaction, agences sans but lucratif établies (et encore financées en partie en 1991) par les radiodiffuseurs commerciaux afin d'aider les stations à observer les quotas Cancon par un financement concurrentiel du disque canadien approprié aux formats commerciaux.

Une autre politique destinée à protéger l'industrie canadienne de l'enregistrement fut l'imposition de tarifs sur les disques et les bandes importés, mais elle n'était plus en vigueur en 1991 comme conséquence de l'Accord de libre échange conclu avec les É.-U. en 1989. Les tarifs sur les disques importés visaient à aider la fabrication des disques et bandes à l'intérieur du pays; cependant les tarifs sur les bandes maîtresses préenregistrées importées, couramment utilisées pour la fabrication des disques, s'appliquaient seulement sur la valeur de la bande vierge, ce qui encouragea l'importation massive de bandes maîtresses préenregistrées au lieu d'enregistrer la musique au Canada en vue de la fabrication de disques. Avec le déclin du vinyle et la levée de tels tarifs, quelques petites compagnies sont devenues prospères avec la vente de disques canadiens.

Une aide gouvernementale pour le disque est aussi accordée par la SRC et par le CAC, dont le Service de la musique a créé un fonds pour l'enregistrement de nouvelles oeuvres.

Financement des arts. Le CAC a été créé en 1957 par une Loi du parlement (une réponse tardive aux recommandations du Rapport de la Commission royale d'enquête sur l'avancement des arts) en réaction à un lobbying important des associations d'artistes et à une inquiétude répandue quant à la préservation d'une identité nationale et d'une souveraineté culturelle. Son mandat était « d'encourager et de promouvoir l'étude, la jouissance et la production d'oeuvres d'arts ». Le budget du CAC pour 1989-90 était de 102 000 000 $; il soutient des orchestres, maisons d'édition, compagnies de danse et d'opéras et artistes individuels. Au plan juridique, le CAC est autonome dans toutes ses décisions ayant trait à sa distribution des fonds, particulièrement ceux aux individus; il est cependant contraint dans certains secteurs : par exemple, il doit soutenir les grandes entreprises nationales et s'ajuster à l'équilibre interne des départements, programmes et régions tel qu'établi suivant les exigences des politiques et du budget. Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada fut détaché du CAC et commença ses activités en 1978, aidant la recherche et l'érudition dans des domaines comme la musicologie et l'ethnomusicologie, subventionnant, par exemple, la préparation de projets tels que l' EMC et le PMC. En 1991, les problèmes auxquels devaient faire face les gestionnaires des arts au plan financier incluaient les questions de fiscalité et de chômage chez les artistes, suite au dépôt du projet de loi sur le statut de l'artiste en décembre 1990; une plus grande décentralisation du financement des arts envisagée par le gouvernement; et le multiculturalisme.

Gouvernements provinciaux. Des conseils des arts ont été créés dans toutes les provinces et territoires, à commencer par la Saskatchewan en 1948. Les gouvernements provinciaux consacrent une généreuse proportion de leurs budgets aux arts et au patrimoine; en 1991, le budget annuel approximatif de tous les gouvernements provinciaux pour les arts d'interprétation (n'incluant pas l'enregistrement sonore et la musique pour le cinéma et la télévision) s'élevait à 120 000 000 $. Voir aussi Alberta Culture, British Columbia Cultural Services Branch, Conseil des arts de l'Ontario, Manitoba Arts Council, Ministère des Affaires culturelles du Québec, Northwest Territories Department of Culture and Communications, Nouveau-Brunswick - La Direction des Arts, Terre-Neuve - Division des Affaires culturelles, Nova Scotia Department of Tourism and Culture, Prince Edward Island Council of the Arts, Saskatchewan Arts Board et Yukon Arts Council.

Gouvernements municipaux. La plupart des gouvernements municipaux encouragent les arts, souvent par l'entremise de conseils des arts semi-indépendants. Leurs fonctions peuvent inclure la coordination du calendrier des manifestations artistiques locales, le lobbying en faveur d'une meilleure infrastructure, l'attribution de subventions, la stimulation du tourisme, la rénovation de théâtres historiques, les honneurs rendus aux artistes et l'identification des besoins éducatifs. Au nombre des conseils importants figure le Community Arts Council of Vancouver qui, au moment de sa fondation en 1946, était le premier du genre en Amérique du Nord, le Conseil des arts de la Communauté urbaine de Montréal, fondé en 1957, et le Toronto Arts Council.

Multiculturalisme. Le multiculturalisme est l'expression d'une politique gouvernementale enracinée dans la Loi sur le bilinguisme de 1971 qui affirme que le « Canada est un seule nation avec deux langues officielles et plusieurs cultures » et reconnaît les droits des minorités ethniques. Une Loi de 1988 (Projet de loi C-93) créa un nouvelle politique du multiculturalisme ainsi qu'un ministère (multiculturalisme et citoyenneté) responsable de la préservation et de la mise en valeur du multiculturalisme au Canada. Le ministère prendra à sa charge le soutien culturel présentement administré par le ministère des Communications et le CAC, et administrera une politique pertinente pour le CRTC et autres agences.

En 1991, sous la tutelle du Secrétaire d'État, Multiculturalisme Canada subventionnait des projets tels que le Festival du Patrimoine canadien, le Conseil canadien des arts populaires et un séminaire sur la production des arts, Focus. Le multiculturalisme joue un rôle controversé dans le financement et la définition de l'activité culturelle. En accordant son aide pour des projets culturels de caractère ethnique et autochtone à des agences en-dehors des agences régulières de financement, le multiculturalisme, selon ses critiques, maintient un statut marginal et amateur des cultures traditionnelles et ethniques. En attendant que les politiques internes des autres agences soient modifiées pour accommoder un éventail plus vaste d'activités culturelles, de traditions et de valeurs, le multiculturalisme joue un rôle important dans la poursuite de nombreuses manifestations et activités musicales.

Relations internationales. Le ministère des Affaires extérieures est mandaté pour procéder à des échanges culturels avec d'autres pays, représentant des centaines de tournées par des artistes individuels et des ensembles au cours des ans. Le Canada fut un membre fondateur de l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture) en 1946; de 1946 à 1958, les relations du Canada avec l'Unesco avaient comme médiateur le ministère des Affaires extérieures. En 1957, le CAC fut mandaté pour établir la Commission canadienne pour l'Unesco qui se réunit pour la première fois en 1958. La commission représente le Canada lors d'activités internationales de l'Unesco et organise des conférences et des études pour les Canadiens sur la diversité culturelle et linguistique, les communications et sciences sociales, le patrimoine, l'éducation et le statut de la femme, entre autres sujets. La Commission canadienne pour l'Unesco, qui travaille conjointement avec le Conseil international de la musique, organise la recherche et établit des échanges d'information avec d'autres pays sur la culture et la technologie an collaboration avec le CAC, le ministère des Affaires extérieures et les projets internationaux de l'Unesco.

Voir aussi Financement, mécénat et bénévolat, Rapport du Comité d'étude de la politique culturelle fédérale.

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