Éditorial : La défection d'Igor Gouzenko
Un coup frappé à la porte de l’appartement l’arrête net. Un autre coup, plus fort, plus insistant est suivi d’un martèlement. Une voix prononce plusieurs fois son nom. Enfin, le martèlement cesse et les pas s’éloignent dans l’escalier. Il savait qu’il allait avoir besoin d’aide.