Baldwin, LaFontaine et le gouvernement responsible
La victoire du Reform Party of Upper Canada le 24 janvier 1848 constitue l'un des événements les plus marquants de notre histoire...
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Les Mi’kmaq (Mi’kmaw, Micmacs, ou L’nu, qui signifie « les gens » en mi’kmaq) sont un peuple autochtone faisant partie des premiers habitants des provinces canadiennes de l’Atlantique. Dans les ouvrages historiques, les Mi’kmaq sont parfois désignés sous d’autres noms, notamment Gaspésiens, Souriquois, Acadiens et Tarrantines. Les communautés mi’kmaq contemporaines vivent principalement en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick, bien qu’on en trouve également un grand nombre au Québec, à Terre-Neuve, dans le Maine et dans la région de Boston. En 2015, un peu moins de 60 000 personnes sont inscrites comme mi’kmaq au Canada. Dans l’Enquête nationale auprès des ménages de 2011, quelque 8 935 personnes affirment parler la langue mi’kmaq. Selon le recensement de 2016 du gouvernement du Canada, quelque 8870 personnes parlent le mi’kmaq.
Pendant le XVIe siècle, le mouvement anabaptiste se répand en Europe et connaît plusieurs chefs. Dans les États d'Allemagne du Nord et les Pays-Bas, Menno Simons est un chef influent. À l'origine, il est prêtre de l'Église catholique romaine, mais a des doutes quant au baptême des enfants.
Les Tlingits (parfois appelés Łingíts), dont le nom signifie « peuple des marées », sont les peuples autochtones de la côte du nord-ouest du Pacifique, qui se considèrent comme une communauté avec le même héritage culturel. Le recensement de 2016 dénombre 2 110 personnes se disant d’ascendance tlingit.
L’inuktitut est une langue autochtone de l’Amérique du Nord parlée dans l’Arctique canadien. Selon le recensement de 2016, elle compte environ 39 770 locuteurs, dont 65 % habitent au Nunavut et 30,8 % au Québec. L’inuktitut fait partie d’un vaste continuum de langues inuites (soit une variété de dialectes) allant de l’Alaska jusqu’au Groenland. L’inuktitut utilise un système d’écriture que l’on nomme écriture syllabique, créé à l’origine pour la langue crie, et dont les symboles représentent une combinaison de consonnes et de voyelles. Cette langue peut également s’écrire en alphabet romain, un système qui s’emploie uniquement dans le Labrador et certaines parties de l’ouest du Nunavut. L’inuktitut est une langue polysynthétique, ce qui signifie que les mots tendent à en être plus longs et de structure plus complexe que ceux de l’anglais ou du français.
Les Anglais sont parmi les premiers Européens à atteindre les côtes du Canada. Avec les Français, ils sont l’un des deux peuples fondateurs de la Confédération canadienne. L’expression « Canadiens anglais » renvoi à la fois aux immigrants en provenance d’Angleterre et aux loyalistes qui se sont exilés après la Révolution américaine ainsi que leurs descendants. Selon le recensement de la population de 2016, un peu plus de 18 % de la population canadienne se considère d’origine anglaise.
Avant les années 60, seuls quelques périodiques étaient publiés à l'intention des lecteurs autochtones, la plupart, par des organisations missionnaires et gouvernementales non autochtones.
L’Assemblée des Premières Nations (APN) est une organisation politique qui représente environ 900 000 citoyens des Premières Nations au Canada.
La région culturelle de la côte nord-ouest, l’une des six comprises dans le territoire qui est aujourd’hui le Canada, rassemble plusieurs peuples autochtones, dont les Nuu-chah-nulth, les Kwakwaka’awkws, les Haïdas, le peuple salish de la côte et les Haislas. Sur le plan géographique, la région réunit des topographies extrêmes, allant de vastes plages à de profonds fjords en passant par des montagnes au sommet enneigé.
Le « Citoyen du siècle » de Vancouver est un barman corpulent du nom de Joe Fortes, originaire de la Barbade. Installé dans un petit chalet près du kiosque du parc Alexandra, Joe Fortes est le premier surveillant de baignade officiel de la plage d’English Bay. Il enseignera la natation à des centaines de Vancouvérois.
Le visage de la reine Elizabeth II figure sur le billet de 20 $ depuis les huit ans du monarque; les femmes canadiennes identifiables, elles, ne sont pourtant apparues sur un billet de banque canadien qu’une seule fois. En 2004, la statue des Cinq femmes célèbres de la Colline du Parlement et de la Plaza olympique à Calgary ainsi que la médaille du Prix Thérèse-Casgrain du bénévolat figuraient au verso du billet de 50 $. Ces femmes ont été les premières Canadiennes à être illustrées sur notre monnaie. En 2011, toutefois, on les a remplacées par un brise-glace nommé en l’honneur d’un homme (voir Roald Amundsen). Le nouveau billet fait partie d’une série visant à souligner l’innovation et les réalisations techniques, série qui apporte son lot de controverse. À l’exception d’une scientifique anonyme illustrée sur le billet de 100 $ émis en 2011, et de deux femmes officières des Forces armées et une jeune fille sur le billet de 10 $ émis en 2001, les femmes canadiennes brillent par leur absence des billets canadiens.
Le 8 mars 2016, Journée internationale de la femme, la Banque du Canada lance une consultation publique afin de désigner un personnage emblématique féminin à mettre en vedette sur un billet de banque publié dans la prochaine série, dont l’impression est prévue pour 2018. Plus de 26 000 personnes répondent à l’appel, envoyant leurs idées. Parmi les noms suggérés, 461 satisfont aux critères d’admissibilité. La liste est ensuite raccourcie à 12 noms, et finalement on crée une liste courte de 5 candidates. On annoncera la sélection finale le 8 décembre 2016.
Mais comment en est-on arrivé là?
Secte de dissidents russes qui sont aujourd’hui nombreux dans l’ouest du Canada. Il s’agit au départ d’un groupe de paysans du sud de la Russie dont l’origine est mal connue, car leurs traditions et leurs préceptes sont transmis oralement.
Au début des années 1860, l’instabilité et l’impasse politiques prévalent sur la scène politique de la Province du Canada. La Grande Coalition de 1864 s’avère un tournant dans l’histoire canadienne. Elle réussit à dissoudre les entraves dans la politique du Canada central et contribue à la création d’un nouveau pays. Elle unit les partis réformiste et conservateur pour la cause d’une réforme constitutionnelle et ouvre la voie à la Conférence de Charlottetown et à la Confédération.
Palbinder Kaur Shergill, C.R., juge à la Cour suprême de Colombie‑Britannique à New Westminster (née à Rurka Kalan, au Pendjab, en Inde). Palbinder Kaur Shergill a pratiqué le droit pendant 26 ans avant d’être nommée à la Cour suprême de la Colombie‑Britannique. Elle a été la première sikhe portant un turban à être nommée juge au Canada.
James Patrick Brady, prospecteur, chef MÉTIS (Lac St. Vincent, Alb., 11 mars 1908 -- disparu dans la région des lacs Foster, Sask., après le 7 juin 1967).
Aqjangajuk Shaa (Axangayu), artiste inuit (né au camp Shartoweetuk, près de Cape Dorset, au Nunavut, le 17mars1937; décédé en 2019).
Lee Maracle, O.C., écrivaine et critique (née le 2 juillet 1950 à Vancouver, en Colombie-Britannique). Lee Maracle est une écrivaine autochtone prolifique, une experte de l’histoire et de la culture des Premières Nations et une figure autochtone influente dans la critique canadienne postcoloniale.
Depuis la fin du XIXe siècle, l'activisme politique des Autochtones du Canada se manifeste surtout par la création d'associations politiques qui débordent du cadre de la bande pour défendre leurs intérêts communs.
Les Haïdas sont un peuple autochtone ayant traditionnellement occupé les criques et les anses côtières de l’archipel Haida Gwaii en Colombie Britannique. Lors du recensement de 2016, 501 personnes ont déclaré être d’ascendance haïda, tandis que 445 personnes ont indiqué être des locuteurs de la langue haïda.