Foresterie
La foresterie est la science et la pratique de l’entretien des forêts. La portée et la pratique de la foresterie ont évolué au cours du temps au Canada.
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Parmi les 34 espèces de conifères de la forêt canadienne, on compte 9 espèces de PINS, 5 d'ÉPINETTES, 4 de GENÉVRIERS, 3 de PRUCHES, 3 de MÉLÈZES, 4 de SAPINS, 1 de THUYA (CÈDRE), 2 d'IFS et 1 de CYPRÈS. Le conifère se définit comme un arbre à bois tendre et à feuilles persistantes.
Les activités visant la protection de l'ENVIRONNEMENT et la conservation des RESSOURCES naturelles constituent la gestion de l'environnement.
On appelle habituellement gestion des ressources la responsabilité des gouvernements d'assurer l'utilisation judicieuse ou la préservation des ressources naturelles relevant de leur autorité.
Le terme « gouvernance en matière d'environnement » sert à décrire la manière dont sont prises les décisions à propos de l'ENVIRONNEMENT et qui les prend.
Hydro-Québec dispose d'une puissance installée de plus de 31 500 MW, de source essentiellement hydroélectrique, donc renouvelable.
L’hydroélectricité
est une forme d’énergie produite par l’écoulement de l’eau. La quantité d’énergie produite varie selon le volume d’eau et
sa vitesse : plus il y a d’eau et plus elle s’écoule vite, plus la
quantité d’énergie produite sera importante. C’est pourquoi bon nombre de
centrales hydroélectriques sont construites à proximité de chutes d’eau. Pour produire de l’énergie, l’eau
est acheminée vers des turbines, parfois par l’intermédiaire d’un barrage. Elle fait tourner les turbines,
qui à leur tour font tourner les génératrices, produisant ainsi de l’électricité.
Renouvelable et relativement non polluante, l’hydroélectricité est la plus
importante source de production d’électricité au Canada.
Au Canada, les entreprises qui composent l’industrie du bois convertissent les billes de bois en divers produits allant du bois d’œuvre aux copeaux de bois.
L'Institut des eaux douces, situé à l'Université du Manitoba, sur le campus de Winnipeg, au Manitoba, est l'un des premiers centres au monde pour ses recherches sur l'eau douce et sur les pêches dans l'Arctique.
L'inventaire forestier permet de mieux connaître l'état des territoires forestiers et de suivre son évolution, puisqu'il existe non seulement les inventaires des ARBRES sur pied, mais aussi tous les inventaires après coupe et les inventaires sylvicoles pour prescrire des traitements.
Le choix des semencesDe façon générale, les cônes et les fruits de plus d'une trentaine d'essences, tant résineuses que feuillues, sont cueillis sur des sites aménagés spécifiquement à cette fin. Ces sites sont nommés « verger à graines ».
Une réserve de biosphère représente l’un des écosystèmes les plus importants au monde et est divisée en trois zones : une aire centrale protégée (comme un parc ou une réserve faunique), une zone tampon autour de la zone principale et une zone de transition où ont lieu des activités économiques et culturelles durables. Le Réseau mondial des réserves de biosphère comprend 686 sites dans le monde, dont 18 se trouvent au Canada. Le Réseau fait partie du Programme sur l’Homme et la biosphère de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Les réserves de biosphère sont désignées par l’UNESCO pour protéger la biodiversité de l’écosystème, assurer un développement durable et renforcer la capacité de la communauté locale à composer avec les problèmes humains et environnementaux.
La limite des arbres est fonction du CLIMAT du SOL. Dans le Nord, elle correspond habituellement à la position modale (la plus courante) de la limite Sud du front arctique en été, et à la ligne isotherme moyenne de 10 °C en juillet.
Les mouvements écologistes visent à protéger le monde naturel et à promouvoir un mode de vie durable. Ils voient le jour dans le cadre des efforts consacrés à la préservation au début des années 1900. À cette époque, les protecteurs de l’environnement visent à ralentir l’épuisement des ressources canadiennes au profit d’une gestion réglementée de l’environnement. Les experts catégorisent l’évolution du mouvement écologiste en différentes « vagues. » Ces vagues sont des périodes dans le temps qui sont facilement caractérisées par certains thèmes. Bien que le nombre et la nature de ces vagues varient parfois d’un expert à l’autre, on les définit souvent comme suit : la première vague s’intéressait avant tout à la préservation; la deuxième, à la pollution; la troisième, à la professionnalisation des groupes écologistes; la quatrième, au changement climatique.