Accident d'autobus d'Eastman
Le deuxième accident de la route le plus désastreux de l’histoire canadienne implique un seul autobus et cause la mort de 40 personnes le 4 août 1978, près d’Eastman, au Québec.
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L’une des tragédies routières les plus médiatisées de l’histoire canadienne s’est produite le 6 avril 2018, lorsqu’un autobus, transportant 28 membres de l’équipe de hockey junior des Broncos de Humboldt, entre en collision avec un camion de transport à une intersection routière près de Tisdale en Saskatchewan. L’accident a fait 16 victimes parmi les membres de l’équipe : 10 joueurs et 6 membres du personnel administratif et d’encadrement. Il a également abouti à la mise en place de nouvelles réglementations en matière de formation des chauffeurs routiers et d’octroi de permis, et à l’exigence que les ceintures de sécurité soient obligatoires sur les autobus.
Au Canada, l’accident de la route le plus mortel implique un seul autobus et se produit près de Saint-Joseph-de-la-Rive, dans la municipalité québécoise des Éboulements, le 13 octobre 1997, le jour de l’Action de grâce.
Le 28 mai 1980, 22 travailleurs de l’acier du Chemin de fer du Canadien Pacifique perdent la vie dans un accident d’autobus sur la route transcanadienne près de Webb, à l’ouest de Regina, en Saskatchewan. Il s’agit de l’un des accidents de la route les plus mortels de l’histoire canadienne.
Le 7 octobre 1966, près de Vaudreuil, au Québec, une collision entre un autobus scolaire et un train de marchandises cause la mort de 19 élèves de l’école secondaire de la Cité-des-Jeunes et celle de leur chauffeur. Il s’agit de l’un des pires accidents de la route de l’histoire canadienne.
Au Canada, l’aviation de brousse désigne l’aviation dans les régions nordiques peu peuplées. Les vols dans l’Arctique et dans la «brousse» du Bouclier canadien se sont développés entre les deux guerres mondiales. Les premiers pilotes de brousse ont dû faire face aux défis du temps froid et des vastes distances entre les communautés. Étant donné la rareté des pistes d’atterrissage, leurs avions étaient souvent équipés de skis ou de flotteurs afin qu’ils puissent décoller et atterrir sur l’eau ou la neige. Ce type d’aviation a été essentiel au développement des services et des industries dans le Nord. Bien que l’image romantique du pilote de brousse soit associée au passé, les vols de brousse continuent de desservir les communautés éloignées du Canada.
On fait venir d'Angleterre un contingent d'ingénieurs royaux. Ils arpentent le terrain depuis Yale, principal poste de navigation sur le Fraser, le long de terrains extrêmement dangereux jusqu'au centre administratif de la région de Cariboo.
D’une longueur de 3185 km (dont 1149 km s’écoulent au Canada), le fleuve Yukon est le cinquième plus long fleuve d’Amérique du Nord.
On trouve au Canada six fuseaux horaires, lesquels couvrent au total quatre heures et demie. D’ouest en est, il s’agit des fuseaux horaires du Pacifique, des Rocheuses, du Centre, de l’Est, de l’Atlantique et de Terre-Neuve. Du premier dimanche de novembre au second dimanche de mars, ces zones correspondent à « l’heure normale », et sont abrégées des façons suivantes : HNP, HNR, HNC, HNE, HNA et HNT. Du second dimanche de mars au premier dimanche de novembre, la plupart des provinces et territoires canadiens suivent « l’heure avancée », ou heure d’été. Les abréviations sont ainsi ajustées en conséquence : HAP, HAR, HAC, HAE, HAA et HAT. Les frontières des fuseaux de l’heure normale, cela étant dit, ne correspondent pas nécessairement aux zones de l’heure avancée. Par exemple, le fuseau des Rocheuses comprend une portion du nord-est de la Colombie-Britannique pendant l’été, mais pas en hiver (voir cartes ci-dessous). Les frontières des fuseaux horaires, en effet, changent selon que certaines municipalités désirent ou non adopter l’heure avancée. De façon semblable, la Saskatchewan suit l’heure normale du Centre à longueur d’année, et, depuis 2020, le Yukon suit l’heure avancée du Pacifique, connue aussi comme l’heure normale du Yukon, à longueur d’année.
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Un glissoir est une piste remplie d’eau, construite pour permettre aux « brelles » (voir Trains de bois) de contourner les rapides et les chutes. Les dispositifs semblables conçus pour transporter les pièces de bois une à une s’appellent glissoirs hydrauliques.
Les voyageurs du Suian Maru sont un groupe composé de 80 hommes et trois femmes, qui ont navigué jusqu'au Canada, à l'été de 1906, à bord du Suian Maru, après avoir mis les voiles à la préfecture de Miyagi, au Japon.
Le métro de Montréal ouvre ses portes le 14 octobre 1966. Second métro canadien après celui de Toronto (datant de 1954), le métro de Montréal est le premier en Amérique du Nord à rouler sur pneumatiques au lieu de roues métalliques. Des extensions au métro sont construites sur l’île de Montréal au cours des deux décennies suivant sa mise en service, puis vers la ville de Laval sur l’île Jésus, durant les années 2000. Le système est entièrement souterrain et ses stations se distinguent les unes des autres par leur architecture et leur design uniques. Le métro de Montréal est constitué de quatre lignes parcourant un total de 71 km et desservant 68 stations. En 2018, ses passagers ont effectué plus de 383 millions de voyages.
L'ÎLE DE SABLE, un banc de sable en forme de croissant situé à 300 km (160 milles marins) à l'est et un peu au sud de Halifax, est aussi célèbre pour ses naufrages. Surnommé le « cimetière de l'Atlantique » à cause de ses sables mouvants, ce banc de sable a été la cause plus de 350 naufrages.
Le CAP BONAVISTA, sur la côte est de Terre-Neuve, sépare la baie Trinity de la baie de Bonavista. En 1842, on décide d'y ériger un PHARE afin de guider les navigateurs à travers les eaux dangereuses qui baignent le cap. Le phare, en service pendant plus d'un siècle, cesse ses opérations en 1962.
Depuis les
temps immémoriaux, les peuples autochtones inuits et subarctiques
ont traversé le Nord. Les
connaissances et les modes de transport autochtones ont aidé les premiers
explorateurs et marchands européens à voyager et à survivre sur ces étendues. La
colonisation ultérieure dépendait remarquablement du développement des systèmes
de transports. De nos jours, les réseaux de transport des communautés nordiques
varient d’un endroit à l’autre. Bien que la plupart des colonies éloignées ne soient
souvent accessibles que par voie aérienne, certaines ont des réseaux routiers,
ferroviaires et maritimes. Celles-ci sont souvent liées à des projets
industriels comme les mines.
Contrairement à d'autres pays montagneux comme la Suisse, et en dépit de sa superficie, le Canada n'a pas de tunnels célèbres. On peut voyager d'un océan à l'autre, de Halifax à Vancouver, par les chemin de fer du CANADIEN NATIONAL (CN) sans traverser de grands tunnels.
Le chemin de fer White Pass & Yukon
Route a été construit pour répondre à la demande de transport
vers les champs aurifères du bassin du fleuve Yukon
pendant la ruée
vers l’or du Klondike. Achevé en 1900, il est un exploit d’ingénierie
et l’une des voies ferrées les plus escarpées d’Amérique du Nord. Il s’étend
sur plus de 177 km, de Skagway, en Alaska, à Whitehorse,
au Yukon.
Aujourd’hui, des excursions ferroviaires touristiques se déroulent sur une
partie de la voie d’origine.