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Canadian Government Motion Picture Bureau
Le Canadian Government Motion Picture Bureau, fondé sous le nom de Exhibits and Publicity Bureau en 1918, est la première unité nationale de réalisation de films au monde. Son objectif est de réaliser des films faisant la promotion des secteurs du commerce international et de l’industrie au Canada. Comme le souligne le ministre du Commerce en 1924, l’organisme « a été mis sur pied dans le but de promouvoir les attractions touristiques du Canada à l’étranger, ainsi que ses ressources agricoles et son développement industriel ». Cependant, le Bureau n’a pas réussi à suivre l’évolution de la technologie et a été gravement entravé par des difficultés financières pendant la Crise. Il a été absorbé par l’Office national du film (ONF) en 1941.
Canadian Help for East Timor
Canadian Nurse Slain in Chechnya
Canadian Passport Abuse
Canadians Underwhelmed by Tax Cuts
Capacité pénale
Deux groupes principaux de personnes ne peuvent être pénalement responsables, soit les très jeunes enfants et les personnes atteintes de troubles mentaux.
Car Fuel Efficiency Toughened (en anglais seulement)
Cet article provient du magazine Maclean’s. Il est uniquement disponible en anglais.
Caricature politique
Il s'agit d'un art éphémère. Chaque jour, les artistes créent une caricature pour commenter l'actualité. Le lendemain de sa parution, elle n'a la pertinence que du journal de la veille.
Catastrophe ferroviaire de Lac-Mégantic
Tôt dans la journée du 6 juillet 2013, un train à la dérive transportant 72 citernes remplies de pétrole brut déraille près du centre-ville de Lac-Mégantic, au Québec, causant ainsi l’explosion des citernes et l’inflammation du pétrole. L’événement cause la mort de 47 personnes et la destruction de plusieurs bâtiments et infrastructures du centre-ville. Quatrième catastrophe ferroviaire de l’histoire du Canada en termes de morts causées, le déraillement entraîne des changements dans les règles de sécurité liées au transport ferroviaire et mène à des poursuites judiciaires contre l’entreprise et les employés impliqués dans l’accident. Plusieurs années après le déraillement, la reconstruction se poursuit et bien des résidents de la ville demeurent en proie au stress post-traumatique.
Censure
La censure est l'exercice d'un contrôle préalable par le gouvernement sur ce qui peut être imprimé, publié, représenté ou diffusé. Peu après l'invention de la presse typographique, la COURONNE d'Angleterre adopta diverses formes de censure.
Centrales syndicales nationales
Avec le temps, les intérêts communs des travailleurs appartenant à différents syndicats finissent par se manifester dans l'apparition d'une série de centrales syndicales. Le rôle premier de celles-ci consiste à coordonner les activités des syndicats membres.
Centrales syndicales québécoises
La FTQ, la plus importante en terme d'effectifs, est en fait l'aile québécoise du CTC et regroupait plus de 400 000 membres en 1996.
Centrales syndicales régionales et de districts
Ces centrales regroupent les syndicats industriels et professionnels d'une ville, d'une région ou d'une province. En général, ils se constituent en période de conflits de travail intenses, notamment entre 1870 et 1890, entre 1910 et 1920 et entre 1935 et 1950.
Centre pour la promotion de l'intérêt public
Le Centre pour la défense de l'intérêt public (CDIP), un organisme sans but lucratif situé à Ottawa, est créé en 1976. Son principal objectif consiste à s'assurer que les consommateurs canadiens, surtout les plus vulnérables, puissent bénéficier des services publics essentiels.
Céréales, lois sur les
Afin de protéger l'agriculture britannique contre la concurrence étrangère, le Parlement britannique impose, par voie législative, de 1794 à 1846, des taxes sur l'importation des CÉRÉALES en Angleterre.
Certificats des Métis
Le certificat désigne tout document utilisé comme cours légal, par exemple un coupon, avec lequel le détenteur peut revendiquer certains droits. En 1870, le gouvernement canadien met en place un système de certificats (appelés scrip en anglais) qui délivre des documents échangeables contre de l’argent ou des terres. Les certificats sont donnés au peuple métis vivant dans l’Ouest canadien en échange de leurs droits territoriaux. Légalement, le processus de certificats est complexe et désorganisé, ce qui complique l’acquisition de terres par les Métis tout en facilitant la fraude. En mars 2013, la Cour suprême du Canada statue que le gouvernement fédéral n’a pas octroyé aux Métis les terres qui leur étaient promises en vertu de la Loi de 1870 sur le Manitoba. À ce jour, les négociations entre les différentes instances gouvernementales et la nation métisse concernant ces revendications territoriales se poursuivent.