Parcs provinciaux | l'Encyclopédie Canadienne

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Parcs provinciaux

Cyprès, collines de
Cette photo du Reesor Lake dans le parc interprovincial Cypress Hills montre une végétation mixte d'épinettes, de peupliers faux-tremble et de prairies de fétuques (photo de Cliff Wallis; avec la permission de Cottonwood Consultants Ltd.).
Quetico, parc provincial de
Région typique du bouclier boréal dans le Nord de l'Ontario (photo de Brian Milne/First Light).

Parcs provinciaux

Les parcs provinciaux sont des étendues de terre et d'eau, de superficie variable, naturelles ou artificielles, désignées par les gouvernements provinciaux à des fins de protection de la nature, de récréation, de TOURISME, de conservation et d'éducation. Ils sont d'une grande diversité. Par exemple, le parc provincial de l'Ours polaire en bordure de la baie d'Hudson, parc à l'état sauvage d'une superficie de 24 087 km2, reçoit moins de 500 visiteurs par année tandis que le parc provincial Bronte Creek, parc récréatif de 6,4 km2, près de Toronto, a reçu 302 327 visiteurs en 1994.

Historique

Comme les parcs nationaux, les parcs provinciaux naissent à la fin du XIXe siècle en réponse aux craintes des fonctionnaires, des politiciens et de la population en général concernant l'épuisement des ressources naturelles, la dégradation des paysages et le besoin d'aires de récréation dans un décor naturel pour une population toujours croissante et de plus en plus urbaine.

Le premier parc provincial, le parc Queen Victoria, situé à Niagara Falls, est établi en 1885. Le parc ALGONQUIN, établi en 1893, est le premier parc provincial canadien établi pour protéger un environnement naturel. C'est en 1885 qu'Alexander Kirkwood, un immigrant irlandais, propose l'établissement de ce parc. Commis au Crown Lands Department, il s'inquiète de la destruction des forêts du Nord, de leur faune et de leur flore, et est impressionné par les nouveaux PARCS NATIONAUX de Yellowstone, aux États-Unis, et de BANFF, dans les Rocheuses.

Kirkwood préconise la création d'une forêt et d'un parc national baptisés Algonquin afin de « perpétuer le nom de l'une des plus grandes nations amérindiennes ayant habité le continent nord-américain ». Grâce à son enthousiasme et à l'appui de James Dickson, un arpenteur-géomètre des terres provinciales, ses efforts aboutissent à la création d'une commission royale et à l'étude de 18 cantons du district de Nipissing, au sud de la rivière Mattawa et compris entre la rivière des Outaouais et la baie Georgienne. En 1893, cette région, Algonquin, est déclarée « parc public et réserve forestière, de pêche et de chasse, station climatique et espace de détente au profit de la population de la province ».

Auparavant un site sauvage et éloigné où se pratiquait encore la coupe du bois, le parc est soumis à une réglementation en ce qui a trait à la protection de la faune et de la forêt contre les incendies. Toutefois, à mesure que les communications s'améliorent et que des services d'hébergement sont offerts, l'aspect récréatif du parc gagne en importance et, au début du XXe siècle, le parc Algonquin devient une destination en vogue pour les touristes désireux de canoter, de pêcher et de camper dans un milieu sauvage.

Le troisième parc provincial, RONDEAU, est situé sur une péninsule de la rive nord du lac Érié et est établi en 1894. Sa FORÊT carolinienne, peuplée d'espèces que l'on rencontre normalement plus au sud et fréquentée par de nombreux oiseaux migrateurs, est déjà appréciée des chasseurs de canards et des pique-niqueurs. Pendant les 50 années qui suivent, du fait de la demande croissante d'aires de CONSERVATION et de récréation, 5 autres parcs provinciaux sont établis en Ontario. Le parc Quetico, situé dans le BOUCLIER au sous-sol granitique recouvert par la FORÊT BORÉALE, est créé en 1913, et le parc du LAC SUPÉRIEUR, en 1944. Le long des rives des GRANDS LACS, le parc Long Point est établi en 1921; Presqu'île, en 1922; Ipperwash, en 1938; et Sibley (aujourd'hui Sleeping Giant), en 1944.

Les premiers parcs provinciaux au Québec sont créés à la même époque et pour des raisons semblables que ceux de l'Ontario. En 1895, le parc provincial des Laurentides, au nord de Québec, et celui du MONT TREMBLANT , au nord de Montréal, sont créés pour protéger les forêts et les faunes terrestres et marines au profit du public. Toutefois, l'exploitation des ressources s'y poursuit. D'autres parcs provinciaux sont établis dans les années 30 : Gaspésie en 1937, Mont-Orford en 1938 et La Vérendrye en 1939. Au cours des 30 dernières années, plusieurs parcs de plus petite superficie sont créés à proximité des villes afin de répondre à la demande en lieux récréatifs dans un décor naturel.

La Colombie-Britannique est la première province de l'Ouest à se doter de parcs provinciaux. STRATHCONA, une région de lacs et de montagnes sur l'île de Vancouver, obtient le statut de parc en 1911, grâce à l'appui populaire de groupes tels le CLUB ALPIN DU CANADA, la société d'histoire naturelle de la Colombie-Britannique et la Chambre de commerce de l'île de Vancouver. Par la suite, l'attention se porte sur les monts et les glaciers de l'Est de la Colombie-Britannique, et le mont ROBSON est déclaré parc provincial en 1913, suivi du mont GARIBALDI, en 1920, puis du MONT ASSINIBOINEet du glacier Kokanee, en 1922.

Le plus grand parc de la province, Tweedsmuir, d'une superficie de 9810 km2 et situé dans la Chaîne côtière, obtient le statut de parc en 1938; Wells Gray, en 1939. Plus récemment, de nombreux autres parcs provinciaux, comprenant de vastes zones de nature sauvage et des petites aires récréatives, ont été créés à proximité des villes dans le Sud et le Nord de la province.

Dans les Prairies, le statut de province et la propriété publique des ressources étant venus plus tard, la création des parcs provinciaux est plus récente. Bien que le gouvernement fédéral y ait déjà créé des parcs nationaux et des réserves forestières, il faut attendre 1930, avec le transfert de la législation relative aux ressources, pour voir naître les premiers parcs provinciaux, qui sont souvent à l'origine de simples réserves forestières. L'Alberta adopte une loi sur les parcs provinciaux et les zones protégées en 1930. Deux ans plus tard, Aspen Beach, le lac Park, le lac Gooseberry, l'île Saskatoon, le lac Sylvan, les chutes Lundbreck, la rivière Ghost et Hommy sont déclarés parcs provinciaux. Les trois derniers sont plus tard retirés du réseau des parcs à la suite des changements de juridiction en 1951 et 1967, mais un grand nombre de parcs plus vastes sont créés.

BEn 1972, l'Alberta compte 51 parcs, totalisant 567 km2. Les trois premiers parcs provinciaux de la Saskatchewan sont créés en 1931, sur les anciennes réserves forestières Duck Mountain, des COLLINES CYPRÈS et de Moose Mountain. Le Manitoba également prend en main la gestion des réserves forestières de TURTLE MOUNTAIN et de Spruce Woods. Le premier parc provincial, WHITESHELL, n'est cependant établi qu'en 1961.

Les provinces Atlantiques, quant à elles, commencent à établir des parcs provinciaux dans les années 50, à une époque où la demande en aires récréatives sur des sites naturels à proximité des villes se fait croissante. Des parcs à vocation récréative axés sur la protection de la nature sont créés, mais leur nombre et leur superficie restent relativement peu importants. Les parcs territoriaux du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest sont une innovation encore plus récente, principalement parce que les terres appartiennent en grande partie au gouvernement fédéral. La demande en lieux récréatifs y est très limitée du fait de la faible population, du peu d'achalandage touristique saisonnier et de l'abondance évidente d'étendues sauvages.

Réseau actuel des parcs provinciaux

Aujourd'hui, plus d'un siècle après l'établissement du premier parc provincial, toutes les provinces possèdent un réseau de parcs provinciaux et des territoires réservés à des fins récréatives et de conservation de la nature. Chaque réseau provincial est différent et de nouveaux parcs sont créés tous les ans.

Administration

Les parcs provinciaux sont administrés par des organismes gouvernementaux provinciaux, qui relèvent habituellement des ministères administrant les ressources naturelles, le tourisme ou la culture. En Ontario, par exemple, la division des parcs provinciaux relève du ministère des Richesses naturelles; en Colombie-Britannique, du ministère des Terres, des Parcs et de l'Habitation. Le personnel occupe des bureaux situés dans les capitales provinciales, dans des bureaux régionaux et dans les parcs eux-mêmes. Le surintendant est normalement secondé par des gardes forestiers et des agents d'interprétation.

La plupart des organismes provinciaux ont élaboré un plan de réseau des parcs facilitant les décisions à prendre quant au nombre de parcs requis, aux caractéristiques, à la taille et à l'emplacement appropriés. Un plan de gestion est généralement préparé pour chaque parc dans le but de faciliter les décisions à prendre quant à la protection de l'environnement du parc, la mise en place d'installations et la prestation de services. Étant donné la grande diversité dans la vocation et les objectifs des parcs, de nombreux organismes les classent (p. ex. nature sauvage, récréatif ou historique) et les administrent en conséquence. Parce que les parcs, et tout spécialement les grands parcs, diffèrent quant à leur vocation et leurs objectifs, il arrive souvent qu'on les soumette à un zonage, certaines régions étant strictement réservées à la protection de la nature et d'autres au développement touristique. La classification et le zonage d'un parc sont des tâches difficiles, qui peuvent nécessiter la participation du public.

Dans leurs efforts pour protéger l'environnement des parcs tout en répondant aux besoins des visiteurs, les organismes font face à de nombreux problèmes de gestion. Peu de parcs, aujourd'hui, sont autosuffisants du point de vue écologique. Par conséquent, on a recours à des méthodes de gestion en ce qui concerne les incendies de forêt, les déséquilibres écologiques, les maladies des animaux et des végétaux, de même que l'impact de la présence humaine. La fréquentation des parcs par les visiteurs nécessite que l'on prévoie et que l'on administre des services de logement, de transport et des installations de loisirs, ainsi que des services de renseignements et d'éducation, et même, des mesures de sécurité.

Les principaux problèmes survenus au cours des dernières années ont été le maintien des populations de poissons, la prévention des INCENDIES DE FORÊT, la dégradation des lieux par les visiteurs, le vandalisme, la protection des visiteurs contre les ours, l'élimination du braconnage, la réduction de la fréquentation excessive des sites les plus populaires, l'arrivée de technologies nouvelles (p. ex. les motoneiges, les delta-planes, les planches à voile) et la réduction du nombre d'accidents résultant d'activités à risques (p. ex. l'alpinisme, le canotage, le camping d'hiver).

Au cours des dernières années, dans le but d'améliorer la planification, la gestion, la protection de l'environnement et la satisfaction des visiteurs, les organismes responsables ont organisé des programmes de recherche et ont régulièrement consulté le public à l'aide de sondages et d'audiences publiques. Les entreprises privées, les associations et les bénévoles ont aussi eu l'occasion de participer à l'administration des parcs.

Colombie-Britannique

En 1996, la Colombie-Britannique compte 443 parcs provinciaux, 131 réserves écologiques et une réserve intégrale, totalisant une superficie de 78 000 km2. Ces parcs sont d'une grande diversité : régions sauvages, vastes et éloignées, comme le Tweedsmuir, ainsi que parcs marins et petits parcs récréatifs à proximité des villes. On les divise en trois classes. La classe A comprend 391 parcs naturels ou historiques totalement protégés, dans lesquels aucune exploitation commerciale des ressources n'est permise; une exploitation discrète et réglementée est permise dans les 2 parcs de la classe B; les 21 parcs de la classe C sont petits, essentiellement locaux et à vocation récréative et seront éventuellement confiés aux municipalités. En 1995, le réseau des parcs provinciaux de la Colombie-Britannique accueille 24,6 millions de visiteurs.

Alberta

En 1996, l'Alberta compte 67 parcs provinciaux, 3 réserves intégrales, plus de 300 aires récréatives, 14 réserves écologiques et le parc Willmore Wilderness, qui totalisent à eux tous plus de 10 000 km2. Les parcs albertains présentent des aspects fort différents : de vastes étendues sauvages et vierges, peu fréquentées, dans les Rocheuses (p. ex. Siffleur), et des parcs récréatifs, très fréquentés, longeant des cours d'eau et situés dans les régions plus populeuses du centre et de l'Est de l'Alberta (p. ex. lac Sylvan). On y rencontre également des zones protégées, qui abritent des précipices à bisons, des lits de fossiles, de l'art rupestre autochtone et d'autres lieux historiques (p. ex. le PARC PROVINCIAL DINOSAUR). En 1995, le réseau albertain des parcs provinciaux accueille approximativement 9 millions de visiteurs.

Saskatchewan

En 1995, la Saskatchewan compte 34 parcs provinciaux, d'une superficie totale de 11 482,87 km2, et 150 aires récréatives représentant une superficie de 422,22 km2. On les divise en 4 classes : parcs historiques (9 en tout, couvrant 274 ha), parcs récréatifs (10 en tout, pour une superficie de 146,94 km2), parcs de conservation du milieu naturel (11, totalisant une superficie de 6774,63 km2) et parcs à l'état sauvage (4, s'étendant sur une superficie de 4558,56 km2). Le réseau comprend également 22 zones protégées et 8 LIEUX HISTORIQUES. La Saskatchewan compte aussi 101 parcs régionaux. En 1995, le réseau des parcs provinciaux de la Saskatchewan reçoit 2,3 millions de visiteurs.

Manitoba

En 1994, le Manitoba dénombre 102 parcs provinciaux totalisant une superficie de plus de 10 000 km2. Ils sont répartis en plusieurs catégories : parcs naturels, parcs récréatifs, parcs du patrimoine, parcs à l'état sauvage et haltes routières. Le parc WHITESHELL, à l'est de Winnipeg, est un parc naturel, tout comme le parc Nopiming, (mot saulteux signifiant « dans la nature »). Le HECLA est un parc du patrimoine, et l'Atikaki est le seul parc à l'état sauvage. En 1994, le réseau des parcs provinciaux du Manitoba reçoit plus de 3 millions de visiteurs.

Ontario,

En 1995, l'Ontario compte 265 parcs provinciaux totalisant 634 981 km2. D'autres terres (1334 km2), établies par les responsables provinciaux de la protection de la nature, des réserves intégrales (618 km2) et diverses autres zones remplissent aussi des fonctions récréatives et de conservation de la nature. Le réseau des parcs comprend des réserves intégrales (p. ex. le parc Quetico, 4758 km2), des lieux historiques (p. ex. PETROGLYPHS, 1555 ha) ainsi que des aires récréatives très fréquentées (p. ex. Wasaga Beach, 15 km2).

Les parcs provinciaux ontariens sont classés comme suit : nature sauvage (8 en tout, pour une superficie de 41 391,73 km2), milieu naturel (65, totalisant 11 900,29 km2), voie navigable (29, totalisant 8 873,99 km2), réserve naturelle (88, totalisant 915,42 km2), récréatif (71, totalisant 395,70 km2), et lieu historique (4, s'étendant sur 2 019 ha). Depuis 1983, 132 nouveaux parcs ont été établis, et plusieurs nouvelles régions ont été proposées comme parcs provinciaux. Le plus important de ceux-ci est une extension du parc provincial Wabakimi, d'une superficie de 8000 km2, située dans le Nord-Ouest de l'Ontario. En 1994, le réseau des parcs provinciaux de l'Ontario accueille 8,3 millions de visiteurs.

Québec

En 1995, le Québec compte 17 parcs provinciaux, dont 3 sont en processus de désignation, totalisant une superficie de 4248,87 km2, 18 autres régions situées au nord du 50e parallèle ont également été retenues. Le réseau comprend de vastes zones de nature sauvage (p. ex. le parc du mont Tremblant, totalisant 1490 km2) et des zones de plus petite taille (Miguasha, site paléontologique de classe internationale, 62,3 ha). Depuis 1977, ils sont classés en parcs de conservation et en parcs récréatifs. En 1994, le réseau des parcs provinciaux du Québec recense 3,4 millions journées de séjour.

Nouveau-Brunswick

En 1995, le Nouveau-Brunswick compte 33 parcs provinciaux de tailles variées : des sites allant de 17,427 ha (Mont Carleton) à 0,2 ha (plages et haltes routières). En 1996, le réseau est réduit : 12 parcs sont transférés à des municipalités, à des organismes bénévoles sans but lucratif et au secteur privé. En 1995, les parcs du Nouveau-Brunswick s'ouvrent à près de 2,5 millions de visiteurs.

Nouvelle-Écosse

En 1995, la Nouvelle-Écosse compte 119 parcs provinciaux. Ceux qui sont ouverts totalisent 92,15 km2 et les aires réservées, 190,10 km2. Parcs routiers, côtiers et urbains à vocation essentiellement récréative, ils sont groupés en terrains de camping, aires de pique-nique, plages et haltes routières. On estime à 2 millions le nombre de visiteurs qui fréquentent ces parcs en 1995.

Île-du-Prince-Édouard

En 1996, l'île compte 30 parcs provinciaux pour une superficie de 17 km2. Presque tous ces sites sont dispersés le long du littoral. Ils comprennent des parcs récréatifs, des parcs de conservation du milieu naturel et des lieux historiques. Plusieurs ont une seconde désignation suivant la Natural Areas Protection Act. Les parcs provinciaux de l'Île-du-Prince-Édouard ont accueilli, selon la dernière estimation, 500 000 visiteurs en 1990.

Terre-Neuve

En 1996, Terre-Neuve dénombre 64 parcs provinciaux totalisant une superficie de 4373,28 km2. Le réseau comprend 32 parcs régionaux, 13 attractions panoramiques naturelles et 3 parcs clés. En 1995, ces parcs accueillent plus de 1,8 million de visiteurs. En 1986, le programme des parcs provinciaux est étendu. Il englobe maintenant l'administration de 13 réserves écologiques, notamment plusieurs refuges d'OISEAUX MARINS (totalisant 84,03 km2), 2 réserves de région sauvage (totalisant 3965 km2) et 2 réserves transitoires.

Territoire du Yukon

Le Yukon possède deux parcs territoriaux : l'île Herschel, établie en 1987, et le Coal River springs, établi comme parc territorial et réserve écologique en 1990. On y trouve également 41 terrains de camping situés le long des routes principales du territoire ainsi que 11 aires récréatives situées le long des routes fréquentées par les touristes et pourvues de panneaux d'interprétation ou de sentiers de nature.

Territoires du Nord-Ouest

En 1996, les Territoires du Nord-Ouest comptent 45 parcs territoriaux, pour une superficie de 31 km2. On étudie actuellement la possibilité de créer des parcs plus vastes. Ces parcs sont classés de la façon suivante**: parcs récréatifs, parcs de loisirs de plein air, parcs de quartier, parcs en bordure de route et parcs historiques. On compte de plus 3 réserves fauniques totalisant 12 321 km2 et 9 aires importantes de protection de la faune totalisant 140 000 km2.

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