Art et culture | l'Encyclopédie Canadienne

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    « If You Could Read My Mind »

    « If You Could Read My Mind ». Chanson de Gordon Lightfoot, écrite en 1969. Elle « dépeint l'émoi d'un amoureux déçu qui n'a pas l'habitude des mots qui touchent de trop près » (Tom Hopkins, Maclean's, 1er mai 1978).

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 « If You Could Read My Mind »
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    Île de la Tortue

    Certains peuples autochtones désignent le continent de l’Amérique du Nord sous le nom d’Île de la Tortue. Ce nom dérive de différentes histoires orales autochtones faisant allusion à une tortue tenant le monde sur son dos. Pour certains peuples autochtones, la tortue est ainsi considérée comme un symbole de vie, et l’histoire de l’Île de la Tortue est rattachée à plusieurs croyances spirituelles et culturelles.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/dreamstime_xxl_54953777.jpg Île de la Tortue
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    Île de la Tortue (résumé en langage simple)

    L’île de la Tortue est un nom utilisé pour désigner l’Amérique du Nord. Il provient des peuples de langue algonquienne et iroquoienne, originaires du nord-est de l’Amérique du Nord. Les récits parlent d’une tortue qui porte le monde sur son dos. La tortue symbolise la vie, la Terre et l’identité autochtone. Elle dénote également un profond respect de la nature. Cet article est un résumé en langage simple sur l’île de la Tortue. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Île de la Tortue.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/dreamstime_xxl_54953777.jpg Île de la Tortue (résumé en langage simple)
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    Illustration

     La plus ancienne illustration se rapportant au Canada est une vue à vol d'oiseau d'Hochelaga et de ses environs, publiée par Giovanni Ramusio à Venise en 1556.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a580af8a-f4ac-492b-a8d0-ab27d566d754.jpg Illustration
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    Incendies

    En 2010, le film Incendies, écrit et réalisé par Denis VILLENEUVE prend l'affiche, inspiré de la pièce de Wajdi MOUAWAD, coproduction Canada- France et tourné à Montréal et en Jordanie.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Incendies
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    Revitalisation des langues autochtones au Canada

    Avant l’arrivée des Européens au Canada, les peuples autochtones parlaient une grande variété de langues. Afin d’assimiler cette population, les politiques coloniales telles que la Loi sur les Indiens et les pensionnats ont interdit l’utilisation des langues autochtones. Ces restrictions ont conduit à la mise en danger permanente des langues autochtones au Canada. Les communautés autochtones et divers établissements d’enseignement ont pris des mesures pour éviter de nouvelles pertes linguistiques et pour préserver les langues autochtones.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fda808dc-4ff3-4652-8bb4-4543f8e7aed5.jpg Revitalisation des langues autochtones au Canada
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    Histoires orales et sources primaires autochtones

    Les histoires orales jouent un rôle essentiel dans les cultures autochtones. Elles permettent de partager des traditions, des histoires et des enseignements importants avec les nouvelles générations. Les histoires orales, un type de source primaire, permettent aux peuples autochtones d’enseigner leur culture dans leurs propres mots. Les autres types de sources primaires, comme les artéfacts de communautés d’autrefois, transmettent également des connaissances sur les traditions et les modes de vie autochtones. Les chercheurs et les conservateurs de musée utilisent de telles sources pour mettre en valeur les points de vue autochtones.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Elder-sharing-a-storyWilliamEWeissArt-Archive.jpg Histoires orales et sources primaires autochtones
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    Inuksuk (inukshuk)

    Un inuksuk (ou inukshuk, au pluriel : inuksuit) est un empilement de pierres ou de rochers dont la fonction est de communiquer avec les humains présents dans l’Arctique. Construits traditionnellement par les Inuits, les inuksuit font partie intégrante de la culture inuite et sont souvent mêlés à d’autres représentations du Canada et du Nord. Le drapeau du Nunavut porte un inuksuk rouge. En inuktitut, le terme inuksuk signifie « agir en tant qu’être humain ». C’est une extension du mot inuk, qui veut dire « être humain ». Des inuksuit ont été retrouvés à proximité de sites archéologiques datant de 2400 à 1800 avant notre ère dans la région du lac Mingo, au sud-ouest de l’île de Baffin. (Voir aussi Préhistoire). Les empilements de pierres qui ont la forme d’une personne sont souvent appelés inuksuk, mais leur véritablement nom est inunnguaq.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fda0c3a3-c613-4196-ba0a-690925ca6c04.jpg Inuksuk (inukshuk)
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    Inuktitut

    L’inuktitut est une langue autochtone de l’Amérique du Nord parlée dans l’Arctique canadien. Selon le recensement de 2016, elle compte environ 39 770 locuteurs, dont 65 % habitent au Nunavut et 30,8 % au Québec. L’inuktitut fait partie d’une vaste famille de langues inuites allant de l’Alaska jusqu’au Groenland. L’inuktitut utilise l’écriture syllabique, un système créé à l’origine pour la langue crie et représentant des combinaisons de consonnes et de voyelles. La langue s’écrit aussi en alphabet romain, et il s’agit d’ailleurs du seul alphabet employé au Labrador et dans certaines parties de l’ouest du Nunavut. L’inuktitut est une langue polysynthétique, ce qui signifie que ses mots tendent à en être plus longs et de structure plus complexe que ceux de l’anglais ou du français.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/26c8ac6d-be78-4acc-9097-9854b0762516.jpg Inuktitut
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    Musique islandaise au Canada

    Islande. Le premier contingent important d'Islandais arriva au Canada en 1873 et, en 1875, il se fixa sur la rive ouest du lac Winnipeg. La colonie (sur le site des villes actuelles de Gimli et Riverton, Man.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Musique islandaise au Canada
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    « Jack Was Every Inch a Sailor »

    « Jack Was Every Inch a Sailor ». Chanson reprenant l'histoire biblique de Jonas en l'appliquant à un pêcheur terre-neuvien. Elle semble avoir été adaptée d'une chanson de music-hall new-yorkaise, « Every Inch a Sailor ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/18604b5a-1f8f-4620-a727-9fe10fc19100.jpg « Jack Was Every Inch a Sailor »
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    Jazz au Canada

    Mélange d’éléments musicaux européens et des traditions africaines, le jazz est un style musical créé par les Afro-américains à l’aube du XXe siècle. Il se caractérise par sa nature improvisée, sa vitalité rythmique (par ex. : le « swing ») et sa capacité à exprimer les émotions.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/33987eea-209a-4612-bb8c-4287c7dd71a5.jpg Jazz au Canada
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    Jazz

    Créé par les Noirs américains au début du XXe siècle et mariant des éléments des traditions européennes et africaines, le jazz se caractérise par son jeu improvisé, ses rythmes marqués (décrits parfois par le terme « swing ») et beaucoup d'émotion dans l'expression.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Jazz
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    Jeunesses musicales du Canada/Youth and Music Canada

    Jeunesses musicales du Canada(JMC 1949-1984)/Youth and Music Canada(YMC 1949-1984 ). Organisme sans but lucratif créé en vue de propager la culture musicale chez les jeunes Canadiens et d'aider les interprètes et compositeurs de talent à développer leur carrière au Canada et à l'étranger.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Jeunesses musicales du Canada/Youth and Music Canada
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    Journaux au Canada : de 1800 aux années 1900

    Les premiers journaux indépendants sont apparus au Canada approximativement entre 1800 et 1850. En effet, c’est à l’époque que diminuent les coûts d’installation et d’exploitation des presses à imprimer, alors qu’augmentent le taux d’alphabétisme et l’appétit de la population pour nouvelles et points de vue. Puisque les rédacteurs de ces journaux dépendent de moins en moins des subventions gouvernementales, ils sont à même de critiquer le pouvoir en place; on assiste donc à la naissance d’un journalisme qui, sans être impartial, est indépendant. Depuis le milieu des années 1800 jusqu’au début 1900, les journaux deviennent de plus en plus rentables, à mesure que les populations et les commerces grandissent et que les revenus des lecteurs ainsi que ceux générés par la publicité augmentent. À l’époque, les journaux grand public sont partisans de personnalités politiques et de groupes culturels.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/8997ef4b-babd-48d9-ba3c-a4e1e4b23780.jpg Journaux au Canada : de 1800 aux années 1900