Évévenements politiques | l'Encyclopédie Canadienne

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    Affaire Airbus

    L’affaire Airbus est un scandale politique qui commence à la fin des années 1980 et se termine autour de 2010. Le scandale concerne l’achat d’aéronefs de passagers pour la société Air Canada (qui était alors une société d’État) par le gouvernement du premier ministre Brian Mulroney dans les années 1980. On allègue que l’homme d’affaires germano-canadien, Karlheinz Schreiber, a soudoyé Brian Mulroney pour qu’il achète des avions Airbus. Le premier ministre déclare qu’il n’a pas agi de manière inappropriée et que les allégations font partie d’une campagne de salissage. Il poursuit le gouvernement fédéral pour une somme de 50 millions de dollars. Finalement, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) met fin à son enquête sans porter d’accusations. Le gouvernement règle à l’amiable avec Brian Mulroney en 1997. Il est cependant établi par la suite que le premier ministre a effectivement agi de manière inappropriée et qu’il a reçu au moins 225 000 dollars en espèces.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/5c249462-9e90-42f3-a8e4-91a5796e9070.jpg Affaire Airbus
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    Affaire de la Somalie

    En 1992-1993, le Canada a contribué des forces militaires à l’UNITAF, une mission humanitaire des Nations Unies dans la nation africaine de la Somalie. En 1993, des soldats canadiens du Régiment aéroporté, aujourd’hui dissolu, torturent et tuent le jeune Somalien Shidane Arone. Ces actes violents scandalisent les Canadiens, portent un rude coup à la réputation internationale du pays et mènent à une enquête publique qui révèle de graves problèmes de leadership dans les hautes sphères des Forces armées canadiennes. Conséquemment, des réformes sont mises en place pour améliorer le professionnalisme du corps des officiers. Cet article traite de thématiques délicates qui peuvent ne pas convenir à tous les publics.  

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/e002280232.jpg Affaire de la Somalie
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    Affaire Meng Wanzhou (affaire des deux Michael)

    L’affaire Meng Wanzhou (ou affaire des deux Michael) est un conflit juridique et diplomatique qui a entraîné de fortes tensions entre le Canada, la Chine et les États-Unis. L’affaire a commencé en décembre 2018 quand la GRC a arrêté à Vancouver Meng Wanzhou, la directrice financière de la compagnie chinoise de technologies de l’information et de la communication Huawei. La GRC agissait au nom des tribunaux américains qui réclamaient son extradition aux États-Unis. Neuf jours plus tard, le gouvernement chinois a arrêté deux Canadiens, Michael Kovrig et Michael Spavor. Les deux hommes ont été incarcérés pendant 1 020 jours. Ils ont été libérés le même jour que Meng Wanzhou, le 24 septembre 2021. Cet épisode a marqué l’adoption de la « diplomatie du loup guerrier » par la Chine et mis en évidence la limitation des options diplomatiques d’une moyenne puissance comme le Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/MengWanzhou/Michael_Kovrig_and_Michael_Spavor.jpg Affaire Meng Wanzhou (affaire des deux Michael)
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    Bourgeois

    Selon un écrivain du XVIIIe siècle, les bourgeois ne sont ni des nobles, ni des prêtres, ni des magistrats, mais des citadins qui, « néanmoins, par leurs biens, leurs richesses, le prestige de leurs occupations et leur commerce, se situent au-dessus des artisans et de ce que l'on appelle le 'petit peuple' ».

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Bourgeois
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    Conscription au Canada (résumé en langage simple)

    La conscription est l’enrôlement obligatoire des citoyens dans l’armée. Les Canadiens ont connu la conscription deux fois dans l’histoire. Les deux fois, seuls les hommes ont été visés. La première conscription survient lors de la Première Guerre mondiale et la deuxième, lors de la Deuxième Guerre mondiale. La conscription est une thématique qui a grandement divisé le Canada : la plupart des Canadiens de langue anglaise étaient d’accord, contrairement à la majorité des Canadiens de langue française. (Cet article est un résumé en langage simple sur la conscription au Canada.) Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral intitulé Conscription au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/aab5fda7-e041-4148-b6de-40ea15191996.jpg Conscription au Canada (résumé en langage simple)
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    Canada et le G7 (Groupe des sept)

    Le G7, ou Groupe des sept, est un groupe international qui réunit les gouvernements des plus grandes puissances économiques du monde, soit l’Allemagne, la France, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada. Il a été fondé en 1975 sous le nom de G6, et est devenu le G7 après l’ajout du Canada en 1976. Le groupe est un bloc informel. Il n’est régi par aucun traité ou constitution, et ne possède ni bureaux, ni personnel, ni secrétariat permanents. Les leaders des États membres se réunissent chaque année dans des sommets afin de discuter d’enjeux d’intérêt commun et de coordonner les mesures à prendre pour y remédier. Les États membres de l’organisation accueillent les sommets et en assument la présidence à tour de rôle. L’Union européenne est également membre du G7, bien qu’elle ne soit pas énumérée et qu’elle n’assume jamais la présidence.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/G7/G7_summit_at_Shimakan.jpg Canada et le G7 (Groupe des sept)
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    La crise des missiles Bomarc

    Le CIM‑10B Bomarc était le premier missile sol-air antiaérien de longue portée à capacité nucléaire au monde. Deux escadrons du missile ont été achetés et déployés par le gouvernement du Canada en 1958. Ceci faisait partie du rôle du Canada pour défendre l’Amérique du Nord d’une éventuelle attaque soviétique, durant la Guerre froide. Le refus du premier ministre John Diefenbaker d’équiper les missiles de têtes nucléaires a entraîné un refroidissement des relations canado-américaines, particulièrement lorsque la crise des missiles cubains a mis cette question à l’avant-plan. La controverse a divisé le cabinet de John Diefenbaker et a contribué à faire perdre l’élection de 1963 à son parti.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/fe8757c3-dd58-4969-92f1-316d16aa4e6c.jpg La crise des missiles Bomarc
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    La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka) (résumé en langage simple)

    À l’été 1990, un mouvement de résistance éclate à Kanesatake, au Québec, à proximité d’une ville nommée Oka. On a appelé cet événement « la crise d’Oka », « la résistance de Kanesatake » ou « la résistance mohawk ». Les manifestants kanyen'kehà:ka (mohawk), la police du Québec, la GRC et l’Armée canadienne ont été les principaux acteurs de ces événements. Tout a débuté lorsque des membres de la communauté kanyen'kehà:ka ont commencé à protester contre l’agrandissement d’un parcours de golf et la construction de maisons de ville sur des terres où se trouvait un cimetière autochtone. La situation est rapidement devenue violente et un policier, caporal à la Sûreté du Québec, a été tué. L’armée canadienne a alors été envoyée à Kanesatake. Finalement le projet d’agrandissement a été abandonné. Le gouvernement fédéral a acheté le terrain litigieux et la résistance a pris fin à la fin du mois de septembre. Cependant, la terre n’a pas été transférée aux Kanyen'kehà:ka. Cette résistance a eu des répercussions durables. Cet article est un résumé en langage simple sur la résistance de Kanesatake (la crise d’Oka). Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/af36926e-717c-45ef-91cc-f00a20c1faeb.jpg La résistance de Kanesatake (la crise d’Oka) (résumé en langage simple)
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    L’affaire King-Byng (résumé en langage simple)

    L’affaire King-Byng est une crise constitutionnelle qui est survenue en 1926. Les pouvoirs du premier ministre se sont trouvés opposés à ceux d’un gouverneur général. La crise s’est déclenchée lorsque le premier ministre William Lyon Mackenzie King a demandé au gouverneur général lord Julian Byng de dissoudre le Parlement et de déclencher de nouvelles élections. Julian Byng a refusé. La crise s’est terminée avec la victoire de William Lyon Mackenzie King lors d’autres élections. Depuis, aucun gouverneur général n’a refusé publiquement l’avis d’un premier ministre. Cet article est un résumé en langage simple sur la récession au Canada. Si vous souhaitez en lire davantage sur le sujet, veuillez consulter notre article complet : L’affaire King-Byng.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/bc101b95-90c9-4f86-b242-e84ad88599bf.jpg L’affaire King-Byng (résumé en langage simple)
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    Les plus mémorables élections

    Elles suscitent à la fois la passion et la haine. Elles font ressortir ce qu’il y a de meilleur et de pire en nous. Elles nous divisent souvent, et parfois – comme ce fut le cas lors de la fracassante victoire de John Diefenbaker en 1958 – les élections fédérales parviennent à unir le pays derrière une seule force ou une seule voix. Une chose est sûre : parmi tous les changements qui ont façonné le Canada depuis la Confédération, un processus demeure indéfectible : le droit de chaque citoyen de choisir collectivement, à quelques années d’intervalle, ceux qui gouvernent le pays. Aujourd’hui, des milliards de personnes dans le monde ne jouissent pas de ce privilège. Quelle chance que notre démocratie soit pérenne! Lorsque nous retournerons aux urnes, nous allons bien sûr voter, mais nous allons aussi écrire un nouveau chapitre de la riche histoire électorale du Canada. C’est une histoire fascinante, faite de grands enjeux, ponctuée de nombreuses facéties et souvent enflammée par la passion des protagonistes et des politiciens au tempérament souvent très marqué. Jetons un coup d’œil sur les dix élections les plus mémorables du Canada, et sur la manière dont elles ont changé le pays.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Les plus mémorables élections
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    Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes LGBTQ

    Entre les années 1950 et 1990, le gouvernement canadien réagit aux inquiétudes en matière de sécurité nationale générées par les tensions avec l’Union soviétique durant la Guerre froide en espionnant et en dénonçant les personnes suspectées d’appartenir à la communauté LGBTQ et en les éliminant de la fonction publique fédérale. Ces personnes sont présentées comme étant subversives sur les plans social et politique et sont considérées comme des cibles potentielles d’un chantage que pourraient exercer les régimes communistes pour obtenir des renseignements classifiés. Le gouvernement justifie cette stigmatisation en expliquant que les personnes entretenant des relations amoureuses avec des personnes du même sexe souffrent d’une « faiblesse de caractère » et ont nécessairement quelque chose à cacher du fait de leur orientation sexuelle, cette dernière étant non seulement considérée comme un tabou, mais, également, dans certains cas, comme illégale. Dans ce cadre, la GRC mène des enquêtes sur de nombreuses personnes. Plusieurs d’entre elles étant licenciées, rétrogradées ou forcées de démissionner, et ce, même si elles n’ont aucun accès à des renseignements de sécurité. Ces mesures sont prises sans que le public en ait connaissance afin de prévenir les scandales et de garder le secret sur les opérations de contre‑espionnage. En 2017, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour ses actions et politiques discriminatoires, ainsi qu’un plan de mesures d’indemnisation de 145 millions de dollars.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/24561e5f-6a40-423a-aae3-8324fa0b339e.jpg Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes LGBTQ
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    Scandale des dépenses du Sénat canadien

    Le scandale des dépenses du Sénat canadien (2012-2016) a donné lieu à des enquêtes sur les indemnités de logement et de déplacement réclamées par des dizaines de sénateurs conservateurs et libéraux. Les sénateurs conservateurs Patrick Brazeau, Mike Duffy et Pamela Wallin sont suspendus pendant les enquêtes. Mike Duffy, Patrick Brazeau et le sénateur libéral Mac Harb sont également accusés de fraude et d’abus de confiance, mais sont acquittés ou leurs accusations sont abandonnées. Une vérification des dépenses des sénateurs en 2015 a révélé que 30 sénateurs avaient fait indûment rembourser certaines dépenses. Le scandale a dominé le discours public et a exercé des pressions sur le Sénat pour qu’il établisse des règles plus claires concernant les frais de déplacement, de résidence et de subsistance. 

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f169fd22-f501-41b1-826f-8506ad77849f.jpg Scandale des dépenses du Sénat canadien
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    Scandale des programmes de commandites

    Lorsque, à l’occasion du référendum du Québec de 1995, les électeurs se sont prononcés en faveur du maintien de la province de Québec au sein du Canada par une infime majorité, le gouvernement libéral du premier ministre du Canada, Jean Chrétien, a réagi en proposant diverses initiatives visant à promouvoir le fédéralisme dans la province. Un programme de commandites a été instauré en 1996. Dans le cadre de ce programme, le ministère des Travaux publics et des Services gouvernementaux a accordé des fonds publics à des agences de publicité privées en vue de promouvoir le Canada et le gouvernement fédéral à l’occasion d’événements culturels, communautaires et sportifs du Québec. Les médias ont commencé à s’interroger sur les dépenses et la gestion de ces contrats. Deux rapports de la vérificatrice générale du Canada et une enquête publique révèlent que des dirigeants d’agences de publicité et des représentants du Parti libéral ont effectué une gestion corrompue de plus de 300 millions de dollars, dont 100 étaient détournés du gouvernement au profit du Parti libéral. Cinq personnes ont été reconnues coupables de fraude. Outre plusieurs autres éléments problématiques, ce scandale a contribué à ce que le gouvernement du successeur de Jean Chrétien, Paul Martin, devienne minoritaire en 2004.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/3ec8aa06-d88a-40e2-826e-ed91385b8006.jpg Scandale des programmes de commandites
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    Tournoi de hockey Canada-URSS de 1972 (Série du siècle)

    Pour beaucoup de Canadiens, en particulier les baby-boomers et la génération X, la série de huit matchs de hockey opposant Équipe Canada et l’Union soviétique en septembre 1972 représente l’un des plus grands moments de l’histoire du sport au Canada. D’aucuns s’attendent à ce que le Canada l’emporte facilement contre l’URSS, mais cette confiance disparaît après le premier match se soldant par une défaite. Lors d’un dernier match tendu à Moscou, les deux équipes sont à égalité jusqu’aux toutes dernières secondes de la quatrième période, lorsque le Canadien Paul Henderson compte finalement le but gagnant. Le tournoi est devenu autant une représentation de la bataille politique de la guerre froide entre la démocratie et le communisme et entre la liberté et l’oppression qu’un combat de hockey. Ce tournoi a eu un effet marquant et durable dans le monde du hockey au Canada et dans le reste du monde.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7e070d7b-a05a-4d77-bdbc-971d8422b2bd.jpg Tournoi de hockey Canada-URSS de 1972 (Série du siècle)