Barrages et dérivations
Dans l'ensemble, le Canada est doté d'abondantes ressources d'eau douce, mais leur disponibilité varie considérablement d'une saison à l'autre ou d'une année à l'autre.
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Créer mon compteDans l'ensemble, le Canada est doté d'abondantes ressources d'eau douce, mais leur disponibilité varie considérablement d'une saison à l'autre ou d'une année à l'autre.
Les calottes glaciaires sont de larges masses de glace qui reposent sur la terre et couvrent la majeure partie du paysage sous‑jacent.
Ces deux fabuleux parcours sont d'abord empruntés un peu avant la fin du XVIIIe siècle par Alexander MACKENZIE, qui atteint alors l'embouchure du fleuve qui porte aujourd'hui son nom (1789). Il est le premier Européen à traverser le continent nord-américain (jusqu'à Bella Coola) en 1793.
Les chutes d'eau se forment aux endroits où le lit d'un cours d'eau est coupé par une pente verticale ou presque.
Les fleuves et les rivières, grands cours d'eau, augmentent généralement de volume entre leur source et leur débouché dans un océan, un lac ou un autre cours d'eau.
À l'échelle du globe, plus des deux tiers des précipitations tombées au sol retournent dans l'atmosphère par évaporation et transpiration. Au Canada, moins de 40 p. 100 de l'eau est évaporée et transpirée, le reste, appelé rendement hydrique, alimente les cours d'eau.
L’énergie marémotrice est une source d’énergie renouvelable largement sous-exploitée qui repose principalement sur la force de gravitation de la lune.
La glace, y compris la neige, est la phase solide de l'eau. Ce concept est préférable à celui d' « eau gelée », puisque l'eau peut passer en phase solide de deux manières, soit par congélation de la phase liquide ou par déposition (condensation) directe de la phase gazeuse.
La glace de mer est de la glace faite d'eau de mer gelée qui flotte à la surface des océans polaires. L'étendue de son manteau varie avec les saisons : dans l'hémisphère Nord, il varie d'un minimum d'environ 9 000 000 km2 en septembre à un maximum d'environ 16 000 000 km2 en mars; dans l'hémisphère Sud, la couverture varie de 3 000 000 km2 (février) à 19 000 000 km2 (septembre). Son épaisseur va de quelques centimètres pour la glace nouvelle dans les zones protégées à au moins 20 m sur les crêtes; les épaisseurs types sont d'environ 3 m dans l'Arctique et d'environ 1 m dans l'Antarctique.
Le réservoir Gouin, étendu sur 1570 km2, situé à une altitude de 404 m, d'une longueur maximale de 102 km et d'une profondeur moyenne de 5 m, c'est en fait un groupement de centaines de petits lacs parsemés d'îles innombrables.
Hydro-Québec dispose d'une puissance installée de plus de 31 500 MW, de source essentiellement hydroélectrique, donc renouvelable.
L'hydroélectricité est une forme d'énergie produite par l'écoulement de l'eau. La quantité d'énergie produite varie selon le volume d'eau et sa vitesse : plus il y a d'eau et plus elle s'écoule vite, plus la quantité d'énergie produite sera importante.
Un iceberg est un bloc de glace qui s’est détaché d’un glacier suivant un processus appelé « vêlage ».
Les inondations résultent généralement de variations naturelles du niveau des rivières, des lacs et des océans. Selon Sécurité publique Canada, les inondations constituent le danger naturel le plus commun au pays, et l’un des plus coûteux. Des inondations historiques ont eu lieu d’un bout à l’autre du Canada, bon nombre des plus dévastatrices étant survenues dans les systèmes fluviaux qui traversent des zones habitées. Les scientifiques prédisent que les inondations liées aux impacts du changement climatique seront plus fréquentes au 21e siècle, surtout dans les régions côtières du pays.
Plusieurs facteurs influencent alors la répartition de la chaleur sur le territoire québécois, mais principalement, l'atmosphère se réchauffe de l'équateur vers les pôles (du sud vers le nord dans l'hémisphère québécois), et des océans (ou des masses d'eau importantes) vers l'intérieur du continent.