Histoire/Personnages historiques | l'Encyclopédie Canadienne

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    Joseph Howe

    Joseph Howe, journaliste, éditeur, homme politique, premier ministre de la Nouvelle‑Écosse, lieutenant‑gouverneur de la Nouvelle‑Écosse (né le 13 décembre 1804, à Halifax, en Nouvelle‑Écosse; décédé le 1er juin 1873, à Halifax, en Nouvelle‑Écosse). Joseph Howe était bien connu à son époque comme un ardent défenseur de la liberté de la presse et de la liberté d’expression, et était également un champion du gouvernement responsable. Il était une figure marquante du mouvement opposé à la Confédération, bien qu’il ait joué, ultérieurement un rôle important, à titre de ministre du Cabinet fédéral, pour obtenir l’entrée du Manitoba dans la Confédération.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7553d95e-5b47-4c12-8aed-dd4492101ac7.jpg Joseph Howe
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    Henry Hudson

    Henry Hudson, marin et explorateur (né vers 1570 en Angleterre; disparu en 1611). Henry Hudson figure sur la longue liste des explorateurs qui ont cherché en vain un passage dans les eaux de l’Arctique vers l’Europe et l’Asie orientale. D’après les historiens, il a entrepris quatre expéditions, soit en 1607, en 1608, en 1609 et en 1610-1611. Bien qu’il n’ait jamais trouvé un tel passage, la baie d’Hudson et le détroit d’Hudson, au Canada, de même que le fleuve Hudson, dans l’État américain de New York, ont été baptisés en son honneur. Il est disparu en juin 1611, avec son fils et sept compagnons, après avoir été abandonné à la dérive dans une embarcation dans le cadre d’une mutinerie de son équipage dans la baie James. (Voir aussi Passage du Nord-Ouest; Exploration de l’Arctique.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/5fe6c217-f781-4a77-bb47-b32210f14749.jpg Henry Hudson
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    Iberville et d'Ardillières, Pierre Le Moyne d'

    Pierre Le Moyne d’Iberville et d’Ardillières, soldat et aventurier (baptisé le 20 juillet 1661 à Ville-Marie [Montréal], en Nouvelle-France; probablement décédé le 9 juillet 1706 à La Havane, à Cuba). Il est le troisième et le plus célèbre des 12 fils de Charles Le Moyne.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/22f54a67-0b82-4032-a05c-ab1245eb0f3f.jpg Iberville et d'Ardillières, Pierre Le Moyne d'
  • Article

    Incident de Mica Bay

    En novembre 1849, une force composée d’Anishinaabeg (voir Ojibwé) et de guerriers métis, dirigée par les chefs Oshawano, Shingwaukonse et Nebenaigoching, a forcé l’Association minière du Québec et du lac Supérieur à cesser ses activités à Pointe aux Mines, dans la baie Mica, sur le lac Supérieur. La baie Mica est située sur le lac Supérieur à environ 100 km au nord-ouest de Sault Ste. Marie (par voie terrestre). La fermeture de la mine et la réaction des autorités du Canada-Ouest sont connues sous le nom d’incident de Mica Bay.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/MicaBayIncident/Mica_Bay_c1850.jpg Incident de Mica Bay
  • Article

    Intendant

    L'office d'intendant de la Nouvelle-France a été créé en 1663, en même temps que le roi Louis XIV instaurait dans la colonie un système complet de gouvernement, comprenant un Gouverneur et un Conseil Souverain.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Intendant
  • Article

    Internement des Ukrainiens au Canada

    Les premières opérations nationales d’internement des Ukrainiens au Canada se sont déroulées pendant la Première Guerre mondiale, entre 1914 et 1920. Plus de 8 500 hommes, ainsi que des femmes et des enfants, ont été internés par le gouvernement du Canada en vertu de la Loi sur les mesures de guerre. La plupart des internés étaient des immigrants récents en provenance des empires austro-hongrois, allemand et ottoman, et principalement des régions de la Galicie et de la Bucovine, dans l’ouest de l’Ukraine. Certains étaient nés au Canada ou naturalisés sujets britanniques. Les internés ont été détenus dans 24 stations de réception et camps d’internement à travers le pays, de Nanaimo, en Colombie-Britannique, à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Beaucoup ont été employés comme travailleurs dans les régions sauvages éloignées du pays. Leurs propriétés et leurs fortunes personnelles ont été confisquées, et une grande partie de celles-ci n’a jamais été restituée.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6cfa6f0b-08c0-4ec8-a739-cb994b5c312d.jpg Internement des Ukrainiens au Canada
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    Internement de la communauté japonaise au Canada

    L’expulsion et le confinement forcés des Canadiens d’origine japonaise pendant la Deuxième Guerre mondiale figurent parmi les événements les plus tragiques de l’histoire canadienne. Près de 21 000 Canadiens d’origine japonaise sont arrêtés dans leurs demeures sur la côte ouest canadienne, sans procès. Dès le 24 février 1942, environ 12 000 d’entre eux sont envoyés vers des régions éloignées de la Colombie-Britannique et ailleurs. Le gouvernement fédéral les prive de leurs propriétés et en pousse un grand nombre à accepter une déportation massive à la fin de la guerre. Ceux qui restent ne sont autorisés à retourner sur la côte ouest que le 1er avril 1949. En 1988, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour la façon dont il a traité les Canadiens japonais. Un dédommagement de 21 000 dollars est également versé à chaque survivant, et plus de 12 millions de dollars sont alloués à un fonds communautaire et à des projets de défense des droits de la personne.Ce texte est l'article intégral sur l'internement de la communauté japonaise au Canada. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter : Internement de la communauté japonaise au Canada (résumé en langage simple).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0bec6156-0467-4a97-909f-da599383381d.jpg Internement de la communauté japonaise au Canada
  • Éditorial

    Irene Parlby et les Fermiers unis de l’Alberta

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. S’ils ont déjà entendu parler d’Irene Parlby, les Canadiens et les Canadiennes la connaissent certainement comme l’une des « Cinq femmes célèbres », ce groupe de cinq femmes de l’Alberta ayant été des plaignantes dans une célèbre affaire judiciaire ayant abouti à la décision que les femmes étaient effectivement « des personnes » aux termes de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique (aujourd’hui la Loi constitutionnelle de 1867) et pouvaient donc être nommées au Sénat. Il s’agissait d’une affaire et d’une décision historiques, s’étant inscrite dans le contexte de la longue lutte des femmes pour obtenir une égalité politique et juridique au Canada. Toutefois, l’importance historique d’Irene Parlby va bien au‑delà de l’affaire « personne ».

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/IreneParlby/UFA_caucus.jpg Irene Parlby et les Fermiers unis de l’Alberta
  • Article

    Irvine, Acheson Gosford

    Acheson Gosford Irvine, soldat, agent de police et directeur de pénitencier (Québec, 7 déc. 1837 -- id., 9 janv. 1916). En tant que troisième commissaire de la Police à cheval du Nord-Ouest, la réputation d'Irvine est ruinée pendant la Rébellion Du Nord-Ouest.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/A_G_Irvine.png Irvine, Acheson Gosford
  • Article

    Irving Abella

    Irving Martin Abella, C.M., O. Ont., MSRC, historien, professeur, administrateur (né le 2 juillet 1940 à Toronto, Ontario; mort le 3 juillet 2022). Irving Abella a été professeur d’histoire à l’Université York de 1968 à 2013. Il a été un pionnier dans le champ de l’histoire ouvrière canadienne et s’est aussi spécialisé dans l’histoire des Juifs au Canada. Il est le co-auteur de l’ouvrage None Is Too Many : Canada and the Jews of Europe 1933-1948, portant sur l’antisémitisme au sein des politiques d’immigration du gouvernement du Canada. Il a été président du Congrès juif canadien de 1992 à 1995 et a participé à la création du Centre d’études juives de l’Université York. Il a été reçu membre de l’Ordre du Canada, de l’Ordre de l’Ontario et de la Société royale du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6d356bb1-8262-40a1-a024-3e8d3226a9da.jpg Irving Abella
  • Article

    Isabel Mackenzie King

    Isabel Grace Mackenzie King (née le 6 février 1843 à New York, aux États-Unis; décédée le 18 décembre 1917 à Ottawa, en Ontario). Isabel Mackenzie King était la fille du dirigeant de la rébellion du Haut-Canada de 1837, William Lyon Mackenzie, et elle était également la mère du premier ministre, William Lyon Mackenzie King. Elle avait une relation intense avec son fils, et elle a soutenu le développement de sa carrière politique.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Isabel-King/King-bathing.jpg Isabel Mackenzie King
  • Article

    Isobel Gunn

    Isobel Gunn (parfois orthographié Isabel, alias Isabella Gunn, John Fubbister et Mary Fubbister), manœuvre (née le 10 août 1780 à Tankerness, en Écosse; décédée le 7 novembre 1861 à Stromness, en Écosse). Au 19e siècle, Isobel Gunn se déguise en homme pour pouvoir travailler pour la Compagnie de la Baie d’Hudson. Elle se rend à la Terre de Rupert (territoire aujourd’hui incorporé au Canada) pour travailler dans le commerce des fourrures. C’est selon toute vraisemblance la première femme européenne dans l’ouest du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e205bf43-b721-4b81-8dfc-84b31d99794a.jpg Isobel Gunn
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    Jack « Doc » Gibson

    John « Jack » Liddell MacDonald Gibson, athlète, administrateur, dentiste (né le 10 septembre 1880, à Berlin [aujourd’hui Kitchener], en Ontario; décédé le 4 novembre 1954, à Calgary, en Alberta). Jack « Doc » Gibson a fondé la première équipe professionnelle de hockey (le Portage Lake Hockey Club, à Houghton, dans le Michigan, aux États‑Unis), en 1903, et la première ligue professionnelle de hockey (la Ligue internationale de hockey), en 1904. Il a été surnommé le « père du hockey professionnel » et le « père du hockey dans le Michigan ». En 1973, il a fait partie de la première vague d’intronisation du United States Hockey Hall of Fame, avant d’être intronisé au Temple de la renommée du hockey, en 1976.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/DocGibson/PortageLakeHC1904.jpg Jack « Doc » Gibson
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    Jackman, Arthur

    Arthur Jackman, navigateur, surnommé « Viking Arthur » (Renews, T.-N., 1843 -- St John's, 31 janv. 1907). En 1872, il commande son premier phoquier à vapeur, le Hawk, conçu pour naviguer dans les glaces. Par la suite, il commandera, entre autres, l'Aurora, le Falcon, le Terra Nova et l'Eagle.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Jackman, Arthur
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    Jackman, William

    William Jackman, chasseur de phoques et capitaine de bateau (Renews, T.-N., 20 mai 1837 -- St John's, 25 févr. 1877). William, à l'instar de son célèbre frère, le capitaine Arthur JACKMAN, s'adonne dès son jeune âge à la pêche à la morue sur la côte du Labrador et à la chasse aux phoques.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Jackman, William