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Politique familiale au Québec
En vertu de la Constitution canadienne, la gestion et la responsabilité des services de santé et de bien-être reviennent aux provinces.
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En vertu de la Constitution canadienne, la gestion et la responsabilité des services de santé et de bien-être reviennent aux provinces.
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Durant la majeure partie de l’histoire des interactions politiques entre les peuples autochtones et le gouvernement canadien (et ses prédécesseurs coloniaux), la politique gouvernementale s’est concentrée sur les Premières Nations. Les Inuits n’ont été qu’à peine reconnus jusqu’aux années 1940, tandis que la responsabilité spéciale envers les Métis et les Indiens non inscrits a été largement reniée jusqu’en 2016. Les débuts de l’histoire de la politique autochtone au Canada ont été marqués par la présence de la France et de l’Angleterre en tant que puissances coloniales. La politique coloniale britannique reconnaissait les peuples autochtones comme des nations souveraines. La politique canadienne post-Confédération était basée, jusqu’à la fin des années 1960, sur un modèle d’assimilation, dont l’un de ses principaux instruments était la Loi sur les Indiens. À partir de la fin des années 1960, la politique gouvernementale s’est progressivement transformée en objectif d’autodétermination des peuples autochtones, un objectif qui doit être atteint grâce aux traités modernes et aux accords d’autonomie gouvernementale.
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La politique linguistique comprend un ensemble de théories, de principes, de lois, de programmes et de mesures conçus pour gérer une ou plusieurs langues dans un pays. Dans les sociétés monolingues, la politique linguistique vise généralement à promouvoir une grammaire approuvée et standardisée de la langue commune. Dans les sociétés bilingues ou multilingues, elle sert à gérer les situations où deux ou plusieurs langues sont en contact et/ou en conflit, ainsi qu’à améliorer l’utilisation et le statut de certaines langues en rapport à d’autres. La politique linguistique du Canada a été conçue pour gérer les relations historiques entre les multiples langues, notamment le français, l’anglais et les langues autochtones, ainsi que leurs diverses communautés. Bien qu’elle ait évolué au fil du temps, la politique linguistique canadienne n’a pas toujours été marquée de mesures positives ou justes.
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La politique monétaire s’entend de nombre de mesures gouvernementales conçues pour avoir une incidence sur les marchés financiers et les conditions de crédit, dans le but d’influencer l’économie nationale. Au Canada, la politique monétaire relève de la Banque du Canada, une société de la Couronne qui met en œuvre des décisions stratégiques, en grande partie grâce à son pouvoir de modifier la masse monétaire canadienne.
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Ce qui distingue le plus la politique municipale de la politique provinciale et fédérale au Canada est l'absence des grands partis politiques.
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La politique du musée dépend des dispositions législatives, financières et administratives prises par les gouvernements pour fonder et financer les musées, et aussi des décisions prises par chaque musée pour prendre sa place dans la société.
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La Politique nationale est la stratégie économique et politique centrale du Parti conservateur sous le premier ministre John A. Macdonald ainsi que sous bon nombre de ses successeurs haut-placés.
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La politique nationale était une politique protectionniste. Elle a été l’une des priorités du Parti conservateur pendant des décennies. Elle a débuté avec le gouvernement du premier ministre John A. Macdonald, et elle s’est poursuivie sous plusieurs de ses successeurs. Dans le cadre de cette politique, le Canada a imposé des droits de douane (taxes) élevés sur les produits importés. Les fabricants canadiens ont ainsi été protégés de la concurrence américaine. Cette politique a été en vigueur de 1878 jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale. (Cet article est un résumé en langage simple sur la politique nationale. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, intitulé Politique nationale.)
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Politique scientifiqueLa politique scientifique est un terme entré dans l'usage dans les années 60 pour désigner les mesures coordonnées que devraient prendre les gouvernements pour promouvoir le développement de la recherche scientifique et technologique et, en particulier, pour guider l'exploitation des résultats de la recherche dans le but de faire progresser la croissance et le bien-être économiques du pays. Le patronage des SCIENCES et de la TECHNOLOGIE par l'État n'est pas un concept nouveau, il...
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L'évolution des politiques culturelles au Québec se démarque nettement des tendances et dynamiques de l'ensemble canadien, autant de l'action fédérale que de celle des autres provinces canadiennes.
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L'expression « politiques gouvernementales » désigne à la fois les objectifs généraux poursuivis par l'action des gouvernants et cette action elle-même.
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Le Québec est la seule province du Canada où les francophones constituent la majorité de la population. Pendant près de deux siècles, plusieurs ont maintenu que la préservation de langue française était la seule garantie possible pour la survie de la nation québécoise (voir Nationalisme francophone au Québec). Cependant, ce n’est qu’après la Révolution tranquille dans les années 1960 que les gouvernements du Québec ont commencé à légiférer activement sur la question. Depuis 1974, le français est la seule langue officielle de cette province, bien que certains services gouvernementaux demeurent accessibles en anglais. Le Québec a la particularité d’être bilingue aux niveaux constitutionnel et fédéral, tout en n’autorisant officiellement que le français dans ses institutions provinciales.
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La province du Nouveau-Brunswick a un gouvernement progressiste-conservateur majoritaire, formé le 14 septembre 2020. Le premier ministre de la province est Blaine Higgs et la lieutenante-gouverneure est Brenda Murphy. La première personne à défendre le mandat de premier ministre du Nouveau-Brunswick après la Confédération a été Andrew Wetmore, qui a servi de 1867 à 1870. La politique du Nouveau-Brunswick a toujours été dominée par l’un de deux partis, les libéraux et les conservateurs (éventuellement renommés progressistes-conservateurs). Chacun d’entre eux a détenu le pouvoir pendant de longues périodes. En 1987, par exemple, le Parti libéral de Frank McKenna a remporté tous les sièges de la législature. Cela ne s’était produit qu’une seule fois dans l’histoire du Canada, en 1935, lorsque les libéraux de l’Île-du-Prince-Édouard s’étaient emparés de tous les sièges.
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La province de la Nouvelle-Écosse a un gouvernement progressiste-conservateur majoritaire, formé le 17 août 2021. Le premier ministre de la province est Tim Houston et le lieutenant-gouverneur est Arthur J. LeBlanc. Parmi les contributions de la Nouvelle-Écosse à la politique canadienne, on peut citer le mouvement pour un gouvernement responsable, lancé par Joseph Howe, un réformateur politique, en 1836. En 1848, les politiciens de Nouvelle-Écosse ont formé le premier gouvernement responsable de l’Amérique du Nord britannique.
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Le populisme est une idéologie et un mouvement politique qui promeut l’idée du « peuple », habituellement en l’opposant à une élite établie. Il est souvent considéré comme une idéologie de droite, mais il existe aussi des populismes de gauche. Le populisme a une longue histoire au Canada, et continue à occuper une place importante dans la culture politique et la vie publique canadiennes. Le Canada a connu des partis populistes de droite (comme le Crédit social, le Parti créditiste et le Parti réformiste) et de gauche (comme les Fermiers unis de l’Alberta et la Co-operative Commonwealth Federation). Le populisme est parfois difficile à définir, mais tous les populismes prétendent parler au nom des « gens ordinaires » qui ont été abandonnés, d’une manière ou d’une autre, par l’establishment.
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